« N’ayons pas peur »

Nul n’a jamais trouvé un outil plus efficace que la peur pour asservir et mener les gens comme un troupeau servile. Il y a comme une jubilation à manier la foule à la baguette.  Or, le discours public est de nouveau à l’exacerbation de la peur face au covid19. Les indicateurs sont bien choisis pour répandre de nouveau la peur: la hausse du nombre des contamination (25 000). Ils se gardent bien d’évoquer d’autres facettes de la vérité, celles qui peuvent rassurer. D’abord, hors de France, les contaminations sont en chute libre. Elles s’effondrent partout dans le monde, notamment dans les pays qui n’ont pas pratiqué la chlague ni l’Ausweis. Une gifle pour nos incompétents. [Ah! vous vous êtes bien foutu, hier, des Anglais, des Allemands, des Suédois et des Ricains!]. En vérité, l’indicateur le plus significatif est celui des morts comptabilisés au titre du covid19. S’il existe une raison de craindre ce dernier, c’est au regard d’éventuelles conséquences fatales. Or, à l’inverse du matraquage morbide, cet indicateur semble orienté durablement à la baisse.   Mais alors, pourquoi occulter cette donnée?  Parce qu’il faut à tout prix cacher ce qui est de nature à rassurer et apaiser la peur. Les cas mortels diminuent car les Français sont prudents et les médecins savent mieux prendre en charge les malades. Non, ce n’est pas grâce à nos « petits marquis poudrés » de la télévision, mais grâce au travail des vrais médecins, au service de leurs patients. Pourquoi ne jamais  dire que la mort recule? La peur doit aussi reculer. Il est de la responsabilité de chacun – et non d’une bureaucratie obtuse et punitive – d’adopter les  précautions nécessaires. Un jour la vérité apparaîtra dans la lumière : emprisonner les gens à domicile comme des criminels,  interdire la voie publique après 18H, persécuter les restaurateurs, les commerçants, les gens de la culture, les étudiants, les saisonniers et les skieurs n’aura jamais fait qu’aggraver le mal et amplifier une effroyable déprime collective qui se manifeste dans l’effondrement des naissances. Qui paiera pour le désastre économique, social et mental, les millions de vies brisées (voir le Figaro du 25/02) moins par le covid-19 que par le discours et la politique de la peur? Les gesticulations médiatiques ne servent qu’à répandre l’illusion de l’action  à des fins électoralistes. Contre les prophètes de malheur, les marchands d’apocalypse et les profiteurs du malheur collectif, une parole s’impose aujourd’hui : n’ayons pas peur. 

Maxime TANDONNET

 

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Author: Redaction

« N’ayons pas peur »

Nul n’a jamais trouvé un outil plus efficace que la peur pour asservir et mener les gens comme un troupeau servile. Il y a comme une jubilation à manier la foule à la baguette.  Or, le discours public est de nouveau à l’exacerbation de la peur face au covid19. Les indicateurs sont bien choisis pour répandre de nouveau la peur: la hausse du nombre des contamination (25 000). Ils se gardent bien d’évoquer d’autres facettes de la vérité, celles qui peuvent rassurer. D’abord, hors de France, les contaminations sont en chute libre. Elles s’effondrent partout dans le monde, notamment dans les pays qui n’ont pas pratiqué la chlague ni l’Ausweis. Une gifle pour nos incompétents. [Ah! vous vous êtes bien foutu, hier, des Anglais, des Allemands, des Suédois et des Ricains!]. En vérité, l’indicateur le plus significatif est celui des morts comptabilisés au titre du covid19. S’il existe une raison de craindre ce dernier, c’est au regard d’éventuelles conséquences fatales. Or, à l’inverse du matraquage morbide, cet indicateur semble orienté durablement à la baisse.   Mais alors, pourquoi occulter cette donnée?  Parce qu’il faut à tout prix cacher ce qui est de nature à rassurer et apaiser la peur. Les cas mortels diminuent car les Français sont prudents et les médecins savent mieux prendre en charge les malades. Non, ce n’est pas grâce à nos « petits marquis poudrés » de la télévision, mais grâce au travail des vrais médecins, au service de leurs patients. Pourquoi ne jamais  dire que la mort recule? La peur doit aussi reculer. Il est de la responsabilité de chacun – et non d’une bureaucratie obtuse et punitive – d’adopter les  précautions nécessaires. Un jour la vérité apparaîtra dans la lumière : emprisonner les gens à domicile comme des criminels,  interdire la voie publique après 18H, persécuter les restaurateurs, les commerçants, les gens de la culture, les étudiants, les saisonniers et les skieurs n’aura jamais fait qu’aggraver le mal et amplifier une effroyable déprime collective qui se manifeste dans l’effondrement des naissances. Qui paiera pour le désastre économique, social et mental, les millions de vies brisées (voir le Figaro du 25/02) moins par le covid-19 que par le discours et la politique de la peur? Les gesticulations médiatiques ne servent qu’à répandre l’illusion de l’action  à des fins électoralistes. Contre les prophètes de malheur, les marchands d’apocalypse et les profiteurs du malheur collectif, une parole s’impose aujourd’hui : n’ayons pas peur. 

Maxime TANDONNET

 

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Nul n’a jamais trouvé un outil plus efficace que la peur pour asservir et mener les gens comme un troupeau servile. Il y a comme une jubilation à manier la foule à la baguette.  Or, le discours public est de nouveau à l’exacerbation de la peur face au covid19. Les indicateurs sont bien choisis pour répandre de nouveau la peur: la hausse du nombre des contamination (25 000). Ils se gardent bien d’évoquer d’autres facettes de la vérité, celles qui peuvent rassurer. D’abord, hors de France, les contaminations sont en chute libre. Elles s’effondrent partout dans le monde, notamment dans les pays qui n’ont pas pratiqué la chlague ni l’Ausweis. Une gifle pour nos incompétents. [Ah! vous vous êtes bien foutu, hier, des Anglais, des Allemands, des Suédois et des Ricains!]. En vérité, l’indicateur le plus significatif est celui des morts comptabilisés au titre du covid19. S’il existe une raison de craindre ce dernier, c’est au regard d’éventuelles conséquences fatales. Or, à l’inverse du matraquage morbide, cet indicateur semble orienté durablement à la baisse.   Mais alors, pourquoi occulter cette donnée?  Parce qu’il faut à tout prix cacher ce qui est de nature à rassurer et apaiser la peur. Les cas mortels diminuent car les Français sont prudents et les médecins savent mieux prendre en charge les malades. Non, ce n’est pas grâce à nos « petits marquis poudrés » de la télévision, mais grâce au travail des vrais médecins, au service de leurs patients. Pourquoi ne jamais  dire que la mort recule? La peur doit aussi reculer. Il est de la responsabilité de chacun – et non d’une bureaucratie obtuse et punitive – d’adopter les  précautions nécessaires. Un jour la vérité apparaîtra dans la lumière : emprisonner les gens à domicile comme des criminels,  interdire la voie publique après 18H, persécuter les restaurateurs, les commerçants, les gens de la culture, les étudiants, les saisonniers et les skieurs n’aura jamais fait qu’aggraver le mal et amplifier une effroyable déprime collective qui se manifeste dans l’effondrement des naissances. Qui paiera pour le désastre économique, social et mental, les millions de vies brisées (voir le Figaro du 25/02) moins par le covid-19 que par le discours et la politique de la peur? Les gesticulations médiatiques ne servent qu’à répandre l’illusion de l’action  à des fins électoralistes. Contre les prophètes de malheur, les marchands d’apocalypse et les profiteurs du malheur collectif, une parole s’impose aujourd’hui : n’ayons pas peur. 

Maxime TANDONNET

 

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Nul n’a jamais trouvé un outil plus efficace que la peur pour asservir et mener les gens comme un troupeau servile. Il y a comme une jubilation à manier la foule à la baguette.  Or, le discours public est de nouveau à l’exacerbation de la peur face au covid19. Les indicateurs sont bien choisis pour répandre de nouveau la peur: la hausse du nombre des contamination (25 000). Ils se gardent bien d’évoquer d’autres facettes de la vérité, celles qui peuvent rassurer. D’abord, hors de France, les contaminations sont en chute libre. Elles s’effondrent partout dans le monde, notamment dans les pays qui n’ont pas pratiqué la chlague ni l’Ausweis. Une gifle pour nos incompétents. [Ah! vous vous êtes bien foutu, hier, des Anglais, des Allemands, des Suédois et des Ricains!]. En vérité, l’indicateur le plus significatif est celui des morts comptabilisés au titre du covid19. S’il existe une raison de craindre ce dernier, c’est au regard d’éventuelles conséquences fatales. Or, à l’inverse du matraquage morbide, cet indicateur semble orienté durablement à la baisse.   Mais alors, pourquoi occulter cette donnée?  Parce qu’il faut à tout prix cacher ce qui est de nature à rassurer et apaiser la peur. Les cas mortels diminuent car les Français sont prudents et les médecins savent mieux prendre en charge les malades. Non, ce n’est pas grâce à nos « petits marquis poudrés » de la télévision, mais grâce au travail des vrais médecins, au service de leurs patients. Pourquoi ne jamais  dire que la mort recule? La peur doit aussi reculer. Il est de la responsabilité de chacun – et non d’une bureaucratie obtuse et punitive – d’adopter les  précautions nécessaires. Un jour la vérité apparaîtra dans la lumière : emprisonner les gens à domicile comme des criminels,  interdire la voie publique après 18H, persécuter les restaurateurs, les commerçants, les gens de la culture, les étudiants, les saisonniers et les skieurs n’aura jamais fait qu’aggraver le mal et amplifier une effroyable déprime collective qui se manifeste dans l’effondrement des naissances. Qui paiera pour le désastre économique, social et mental, les millions de vies brisées (voir le Figaro du 25/02) moins par le covid-19 que par le discours et la politique de la peur? Les gesticulations médiatiques ne servent qu’à répandre l’illusion de l’action  à des fins électoralistes. Contre les prophètes de malheur, les marchands d’apocalypse et les profiteurs du malheur collectif, une parole s’impose aujourd’hui : n’ayons pas peur. 

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