Des résultats de datation extrêmement différents selon la méthode utilisée

Une différence de datation de 100 millions d'années a été mise en évidence par une équipe internationale de chercheurs, dirigée par Hervé Sauquet du laboratoire Ecologie, Systématique et Evolution (Université Paris-Sud/CNRS), en fonction de la manière dont sont combinées les données paléontologiques et génétiques d'un même groupe d'espèces. Ces résultats viennent d'être publiés en ligne dans la revue .

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Author: Redaction