Catégorie : Grande Distribution

06
Juil
2016
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Alibaba, JD.com : les géants chinois du e-commerce à l’assaut du Web français

Multipliant les prises de paroles publiques ces derniers temps, les deux leaders du e-commerce en Chine, Alibaba et JD.com posent peu à peu les jalons d’une éventuelle incursion sur le marché français. Lire l’ar…

06
Juil
2016
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Pour les 50 ans de son jeu Triominos, Goliath prend le large et fait gagner des voitures

L’éditeur de jeux Goliath réactive son programme estival d’animations sur les festivals, plages et campings. Le groupe a également reconduit son opération de sponsoring sportif avec le Tour de France à la Voile placé, cette année, sous le signe de son jeu Triominos qui célèbre ses 50 ans cette année.

06
Juil
2016
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Le business du Tour de France séduit la grande conso

La puissance du Tour de France attire de nombreuses marques et distributeurs, qui déploient différents dispositifs marketing afin d’émerger auprès des quelque 12 millions de spectateurs attendus cette année encore. Le point sur ces opérations lucratives.

06
Juil
2016
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Bel accélère sa transformation digitale avec Facebook

Le groupe fromager Bel entreprend un virage stratégique sur le digital et noue un partenariat mondial avec Facebook. Lire l’article

06
Juil
2016
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Les incertitudes planent sur la fusion Auchan Système U

Le président de l’Autorité de la concurrence a indiqué ce matin 6 juillet 2016 que le projet de rapprochement entre Auchan et Système U n’était pas abouti et donc pas encore examiné. Les dirigeant…

06
Juil
2016
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Trader Joe’s, l’étonnant cousin américain d’Aldi [En images]

Apeu de chose près, Trader’s Joe a failli remporter le titre honorifique de supermarché préféré des Américains pour la cinquième…

06
Juil
2016
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Trader Joe’s, l’étonnant cousin américain d’Aldi [En images]

Apeu de chose près, Trader’s Joe a failli remporter le titre honorifique de supermarché préféré des Américains pour la cinquième année consécutive. Ce qui dénote une certaine cote d’amour reposant sur plusieurs piliers. Le premier saute aux yeux lorsque l’on pénètre dans un de ces points de vente, d’une surface moyenne de 1 000 à 1 200 m² : la déco se veut cool et colorée, héritage perpé­tué depuis la création de l’ensei­gne en Californie, en 1967, par Joe Coulombe, en pleine période hippie. Dans le magasin que LSA a ­visité à Tampa, en Floride, le mobilier en bois et les couleurs douces cotoient un présentoir à thé et café coiffé de feuilles de palmiers, alors que les fresques un peu naï­ves peintes sur le haut des murs animent l’espace, avec une énor­me vache au-dessus des produits lai­tiers, tandis que les casques et fanions des équipes universitaires du coin donnent une touche ­locale. Les accroches produits griffonnées sur les panneaux et présentoirs sont tout aussi percutantes et humoristiques. L’approche n’est pas sans rappeler un mélange de Michel et Augustin et Monoprix, à cela près que Traders Joe’s propose une offre de produits plutôt gourmets à prix modérés, en se pré­sen­tant comme un découvreur de saveurs. Et petit à petit, le réseau s’étoffe. Au point de ­dépasser les 450 unités, avec un développe­ment très fort en dehors du fief historique de Californie, et plusieurs dizaines d’ouvertures par an.

Toute l’équipe sur le pont

Pour être repérés de loin, et trancher avec les uniformes classiques, les salariés arborent des chemises à fleur so baba cool. Et lorsque l’ouverture d’une caisse est nécessaire (chacune porte d’ailleurs un nom), une véritable cloche maritime retentit une fois. Elle est actionnée deux fois lors­qu’un client a besoin d’une répon­se précise en caisse, et trois fois pour appeler un manager. Si l’agencement est remarquable, l’assortiment l’est tout autant. La MDD Trader Joe’s est omniprésen­te, et constitue à vue d’œil 90% de l’offre, avec des produits peu conventionnels comme la confitu­re de bacon ou les marshmallows. Elle reste dans l’esprit du lieu et joue sur les couleurs, les présentations originales et les packagings spéciaux, comme une véritable marque. Certains produits italiens sont renommés Trader Giotto’s, ou Trader Jacques pour quelques spécialités françaises.

La qualité à moindre coût

Les fruits et légumes, notamment bio, sont très présents. Et depuis 2007, le distributeur a choisi d’éliminer les colorants artificiels, les arômes, conservateurs et OGM de ses produits, ce qui n’est pas très courant aux États-Unis. La profondeur de gamme est assez courte et le choix de ne proposer presque que des MDD est une question de maîtrise des coûts, en commandant les produits directement aux fabricants. Bref, tout est fait pour améliorer les rotations, et tirer les prix de vente vers le bas. Des méthodes qui ne sont pas sans rappeler le hard-discount. D’ailleurs, en 1979, Trader Joe’s a tapé dans l’œil d’un certain Theo Albrecht. Au point que le cofondateur du groupe Aldi a racheté le distributeur américain, qui appartient toujours au holding familial. Aldi et Trader Joe’s sont – a priori – aux antipodes : Aldi se distingue par un modèle ultra-épuré et austère, alors que l’américain se veut décalé et coloré. Mais sur un plan commercial, les méthodes sont assez similaires. Si les synergies restent assez faibles, la marque Trader’s Joe a tout de même été importée en Europe, ou elle sert de MDD sur des catégories de produits vendues chez Aldi, comme les cacahuètes et certains produits apéritifs en France. La culture du secret d’Aldi a rejailli sur la chaîne, sur laquelle peu d’éléments sont publics. En 2010, le magazine Fortune estimait les ventes à 1 750 $ par pied ­carré, soit plus du double de Whole Foods. En tant que compagnie privée, le distributeur ne publie pas son chiffre d’affaires, qui était estimé à 8 Mrds $ par les analys­tes… il y a six ans. Depuis, l’enseigne a continué à grandir. Et annonce plusieurs fois par mois qu’elle va « jeter l’ancre » (ouvrir) dans de nouvelles villes, notamment Houston (Texas), Culver City (Californie) et New York.

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06
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2016
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Trader Joe’s, l’étonnant cousin américain d’Aldi [En images]

Apeu de chose près, Trader’s Joe a failli remporter le titre honorifique de supermarché préféré des Américains pour la cinquième année consécutive. Ce qui dénote une certaine cote d’amour reposant sur plusieurs piliers. Le premier saute aux yeux lorsque l’on pénètre dans un de ces points de vente, d’une surface moyenne de 1 000 à 1 200 m² : la déco se veut cool et colorée, héritage perpé­tué depuis la création de l’ensei­gne en Californie, en 1967, par Joe Coulombe, en pleine période hippie. Dans le magasin que LSA a ­visité à Tampa, en Floride, le mobilier en bois et les couleurs douces cotoient un présentoir à thé et café coiffé de feuilles de palmiers, alors que les fresques un peu naï­ves peintes sur le haut des murs animent l’espace, avec une énor­me vache au-dessus des produits lai­tiers, tandis que les casques et fanions des équipes universitaires du coin donnent une touche ­locale. Les accroches produits griffonnées sur les panneaux et présentoirs sont tout aussi percutantes et humoristiques. L’approche n’est pas sans rappeler un mélange de Michel et Augustin et Monoprix, à cela près que Traders Joe’s propose une offre de produits plutôt gourmets à prix modérés, en se pré­sen­tant comme un découvreur de saveurs. Et petit à petit, le réseau s’étoffe. Au point de ­dépasser les 450 unités, avec un développe­ment très fort en dehors du fief historique de Californie, et plusieurs dizaines d’ouvertures par an.

Toute l’équipe sur le pont

Pour être repérés de loin, et trancher avec les uniformes classiques, les salariés arborent des chemises à fleur so baba cool. Et lorsque l’ouverture d’une caisse est nécessaire (chacune porte d’ailleurs un nom), une véritable cloche maritime retentit une fois. Elle est actionnée deux fois lors­qu’un client a besoin d’une répon­se précise en caisse, et trois fois pour appeler un manager. Si l’agencement est remarquable, l’assortiment l’est tout autant. La MDD Trader Joe’s est omniprésen­te, et constitue à vue d’œil 90% de l’offre, avec des produits peu conventionnels comme la confitu­re de bacon ou les marshmallows. Elle reste dans l’esprit du lieu et joue sur les couleurs, les présentations originales et les packagings spéciaux, comme une véritable marque. Certains produits italiens sont renommés Trader Giotto’s, ou Trader Jacques pour quelques spécialités françaises.

La qualité à moindre coût

Les fruits et légumes, notamment bio, sont très présents. Et depuis 2007, le distributeur a choisi d’éliminer les colorants artificiels, les arômes, conservateurs et OGM de ses produits, ce qui n’est pas très courant aux États-Unis. La profondeur de gamme est assez courte et le choix de ne proposer presque que des MDD est une question de maîtrise des coûts, en commandant les produits directement aux fabricants. Bref, tout est fait pour améliorer les rotations, et tirer les prix de vente vers le bas. Des méthodes qui ne sont pas sans rappeler le hard-discount. D’ailleurs, en 1979, Trader Joe’s a tapé dans l’œil d’un certain Theo Albrecht. Au point que le cofondateur du groupe Aldi a racheté le distributeur américain, qui appartient toujours au holding familial. Aldi et Trader Joe’s sont – a priori – aux antipodes : Aldi se distingue par un modèle ultra-épuré et austère, alors que l’américain se veut décalé et coloré. Mais sur un plan commercial, les méthodes sont assez similaires. Si les synergies restent assez faibles, la marque Trader’s Joe a tout de même été importée en Europe, ou elle sert de MDD sur des catégories de produits vendues chez Aldi, comme les cacahuètes et certains produits apéritifs en France. La culture du secret d’Aldi a rejailli sur la chaîne, sur laquelle peu d’éléments sont publics. En 2010, le magazine Fortune estimait les ventes à 1 750 $ par pied ­carré, soit plus du double de Whole Foods. En tant que compagnie privée, le distributeur ne publie pas son chiffre d’affaires, qui était estimé à 8 Mrds $ par les analys­tes… il y a six ans. Depuis, l’enseigne a continué à grandir. Et annonce plusieurs fois par mois qu’elle va « jeter l’ancre » (ouvrir) dans de nouvelles villes, notamment Houston (Texas), Culver City (Californie) et New York.

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2016
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Trader Joe’s, l’étonnant cousin américain d’Aldi [En images]

Apeu de chose près, Trader’s Joe a failli remporter le titre honorifique de supermarché préféré des Américains pour la cinquième année consécutive. Ce qui dénote une certaine cote d’amour reposant sur plusieurs piliers. Le premier saute aux yeux lorsque l’on pénètre dans un de ces points de vente, d’une surface moyenne de 1 000 à 1 200 m² : la déco se veut cool et colorée, héritage perpé­tué depuis la création de l’ensei­gne en Californie, en 1967, par Joe Coulombe, en pleine période hippie. Dans le magasin que LSA a ­visité à Tampa, en Floride, le mobilier en bois et les couleurs douces cotoient un présentoir à thé et café coiffé de feuilles de palmiers, alors que les fresques un peu naï­ves peintes sur le haut des murs animent l’espace, avec une énor­me vache au-dessus des produits lai­tiers, tandis que les casques et fanions des équipes universitaires du coin donnent une touche ­locale. Les accroches produits griffonnées sur les panneaux et présentoirs sont tout aussi percutantes et humoristiques. L’approche n’est pas sans rappeler un mélange de Michel et Augustin et Monoprix, à cela près que Traders Joe’s propose une offre de produits plutôt gourmets à prix modérés, en se pré­sen­tant comme un découvreur de saveurs. Et petit à petit, le réseau s’étoffe. Au point de ­dépasser les 450 unités, avec un développe­ment très fort en dehors du fief historique de Californie, et plusieurs dizaines d’ouvertures par an.

Toute l’équipe sur le pont

Pour être repérés de loin, et trancher avec les uniformes classiques, les salariés arborent des chemises à fleur so baba cool. Et lorsque l’ouverture d’une caisse est nécessaire (chacune porte d’ailleurs un nom), une véritable cloche maritime retentit une fois. Elle est actionnée deux fois lors­qu’un client a besoin d’une répon­se précise en caisse, et trois fois pour appeler un manager. Si l’agencement est remarquable, l’assortiment l’est tout autant. La MDD Trader Joe’s est omniprésen­te, et constitue à vue d’œil 90% de l’offre, avec des produits peu conventionnels comme la confitu­re de bacon ou les marshmallows. Elle reste dans l’esprit du lieu et joue sur les couleurs, les présentations originales et les packagings spéciaux, comme une véritable marque. Certains produits italiens sont renommés Trader Giotto’s, ou Trader Jacques pour quelques spécialités françaises.

La qualité à moindre coût

Les fruits et légumes, notamment bio, sont très présents. Et depuis 2007, le distributeur a choisi d’éliminer les colorants artificiels, les arômes, conservateurs et OGM de ses produits, ce qui n’est pas très courant aux États-Unis. La profondeur de gamme est assez courte et le choix de ne proposer presque que des MDD est une question de maîtrise des coûts, en commandant les produits directement aux fabricants. Bref, tout est fait pour améliorer les rotations, et tirer les prix de vente vers le bas. Des méthodes qui ne sont pas sans rappeler le hard-discount. D’ailleurs, en 1979, Trader Joe’s a tapé dans l’œil d’un certain Theo Albrecht. Au point que le cofondateur du groupe Aldi a racheté le distributeur américain, qui appartient toujours au holding familial. Aldi et Trader Joe’s sont – a priori – aux antipodes : Aldi se distingue par un modèle ultra-épuré et austère, alors que l’américain se veut décalé et coloré. Mais sur un plan commercial, les méthodes sont assez similaires. Si les synergies restent assez faibles, la marque Trader’s Joe a tout de même été importée en Europe, ou elle sert de MDD sur des catégories de produits vendues chez Aldi, comme les cacahuètes et certains produits apéritifs en France. La culture du secret d’Aldi a rejailli sur la chaîne, sur laquelle peu d’éléments sont publics. En 2010, le magazine Fortune estimait les ventes à 1 750 $ par pied ­carré, soit plus du double de Whole Foods. En tant que compagnie privée, le distributeur ne publie pas son chiffre d’affaires, qui était estimé à 8 Mrds $ par les analys­tes… il y a six ans. Depuis, l’enseigne a continué à grandir. Et annonce plusieurs fois par mois qu’elle va « jeter l’ancre » (ouvrir) dans de nouvelles villes, notamment Houston (Texas), Culver City (Californie) et New York.

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2016
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Trader Joe’s, l’étonnant cousin américain d’Aldi [En images]

Apeu de chose près, Trader’s Joe a failli remporter le titre honorifique de supermarché préféré des Américains pour la cinquième année consécutive. Ce qui dénote une certaine cote d’amour reposant sur plusieurs piliers. Le premier saute aux yeux lorsque l’on pénètre dans un de ces points de vente, d’une surface moyenne de 1 000 à 1 200 m² : la déco se veut cool et colorée, héritage perpé­tué depuis la création de l’ensei­gne en Californie, en 1967, par Joe Coulombe, en pleine période hippie. Dans le magasin que LSA a ­visité à Tampa, en Floride, le mobilier en bois et les couleurs douces cotoient un présentoir à thé et café coiffé de feuilles de palmiers, alors que les fresques un peu naï­ves peintes sur le haut des murs animent l’espace, avec une énor­me vache au-dessus des produits lai­tiers, tandis que les casques et fanions des équipes universitaires du coin donnent une touche ­locale. Les accroches produits griffonnées sur les panneaux et présentoirs sont tout aussi percutantes et humoristiques. L’approche n’est pas sans rappeler un mélange de Michel et Augustin et Monoprix, à cela près que Traders Joe’s propose une offre de produits plutôt gourmets à prix modérés, en se pré­sen­tant comme un découvreur de saveurs. Et petit à petit, le réseau s’étoffe. Au point de ­dépasser les 450 unités, avec un développe­ment très fort en dehors du fief historique de Californie, et plusieurs dizaines d’ouvertures par an.

Toute l’équipe sur le pont

Pour être repérés de loin, et trancher avec les uniformes classiques, les salariés arborent des chemises à fleur so baba cool. Et lorsque l’ouverture d’une caisse est nécessaire (chacune porte d’ailleurs un nom), une véritable cloche maritime retentit une fois. Elle est actionnée deux fois lors­qu’un client a besoin d’une répon­se précise en caisse, et trois fois pour appeler un manager. Si l’agencement est remarquable, l’assortiment l’est tout autant. La MDD Trader Joe’s est omniprésen­te, et constitue à vue d’œil 90% de l’offre, avec des produits peu conventionnels comme la confitu­re de bacon ou les marshmallows. Elle reste dans l’esprit du lieu et joue sur les couleurs, les présentations originales et les packagings spéciaux, comme une véritable marque. Certains produits italiens sont renommés Trader Giotto’s, ou Trader Jacques pour quelques spécialités françaises.

La qualité à moindre coût

Les fruits et légumes, notamment bio, sont très présents. Et depuis 2007, le distributeur a choisi d’éliminer les colorants artificiels, les arômes, conservateurs et OGM de ses produits, ce qui n’est pas très courant aux États-Unis. La profondeur de gamme est assez courte et le choix de ne proposer presque que des MDD est une question de maîtrise des coûts, en commandant les produits directement aux fabricants. Bref, tout est fait pour améliorer les rotations, et tirer les prix de vente vers le bas. Des méthodes qui ne sont pas sans rappeler le hard-discount. D’ailleurs, en 1979, Trader Joe’s a tapé dans l’œil d’un certain Theo Albrecht. Au point que le cofondateur du groupe Aldi a racheté le distributeur américain, qui appartient toujours au holding familial. Aldi et Trader Joe’s sont – a priori – aux antipodes : Aldi se distingue par un modèle ultra-épuré et austère, alors que l’américain se veut décalé et coloré. Mais sur un plan commercial, les méthodes sont assez similaires. Si les synergies restent assez faibles, la marque Trader’s Joe a tout de même été importée en Europe, ou elle sert de MDD sur des catégories de produits vendues chez Aldi, comme les cacahuètes et certains produits apéritifs en France. La culture du secret d’Aldi a rejailli sur la chaîne, sur laquelle peu d’éléments sont publics. En 2010, le magazine Fortune estimait les ventes à 1 750 $ par pied ­carré, soit plus du double de Whole Foods. En tant que compagnie privée, le distributeur ne publie pas son chiffre d’affaires, qui était estimé à 8 Mrds $ par les analys­tes… il y a six ans. Depuis, l’enseigne a continué à grandir. Et annonce plusieurs fois par mois qu’elle va « jeter l’ancre » (ouvrir) dans de nouvelles villes, notamment Houston (Texas), Culver City (Californie) et New York.

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Trader Joe’s, l’étonnant cousin américain d’Aldi [En images]

Apeu de chose près, Trader’s Joe a failli remporter le titre honorifique de supermarché préféré des Américains pour la cinquième année consécutive. Ce qui dénote une certaine cote d’amour reposant sur plusieurs piliers. Le premier saute aux yeux lorsque l’on pénètre dans un de ces points de vente, d’une surface moyenne de 1 000 à 1 200 m² : la déco se veut cool et colorée, héritage perpé­tué depuis la création de l’ensei­gne en Californie, en 1967, par Joe Coulombe, en pleine période hippie. Dans le magasin que LSA a ­visité à Tampa, en Floride, le mobilier en bois et les couleurs douces cotoient un présentoir à thé et café coiffé de feuilles de palmiers, alors que les fresques un peu naï­ves peintes sur le haut des murs animent l’espace, avec une énor­me vache au-dessus des produits lai­tiers, tandis que les casques et fanions des équipes universitaires du coin donnent une touche ­locale. Les accroches produits griffonnées sur les panneaux et présentoirs sont tout aussi percutantes et humoristiques. L’approche n’est pas sans rappeler un mélange de Michel et Augustin et Monoprix, à cela près que Traders Joe’s propose une offre de produits plutôt gourmets à prix modérés, en se pré­sen­tant comme un découvreur de saveurs. Et petit à petit, le réseau s’étoffe. Au point de ­dépasser les 450 unités, avec un développe­ment très fort en dehors du fief historique de Californie, et plusieurs dizaines d’ouvertures par an.

Toute l’équipe sur le pont

Pour être repérés de loin, et trancher avec les uniformes classiques, les salariés arborent des chemises à fleur so baba cool. Et lorsque l’ouverture d’une caisse est nécessaire (chacune porte d’ailleurs un nom), une véritable cloche maritime retentit une fois. Elle est actionnée deux fois lors­qu’un client a besoin d’une répon­se précise en caisse, et trois fois pour appeler un manager. Si l’agencement est remarquable, l’assortiment l’est tout autant. La MDD Trader Joe’s est omniprésen­te, et constitue à vue d’œil 90% de l’offre, avec des produits peu conventionnels comme la confitu­re de bacon ou les marshmallows. Elle reste dans l’esprit du lieu et joue sur les couleurs, les présentations originales et les packagings spéciaux, comme une véritable marque. Certains produits italiens sont renommés Trader Giotto’s, ou Trader Jacques pour quelques spécialités françaises.

La qualité à moindre coût

Les fruits et légumes, notamment bio, sont très présents. Et depuis 2007, le distributeur a choisi d’éliminer les colorants artificiels, les arômes, conservateurs et OGM de ses produits, ce qui n’est pas très courant aux États-Unis. La profondeur de gamme est assez courte et le choix de ne proposer presque que des MDD est une question de maîtrise des coûts, en commandant les produits directement aux fabricants. Bref, tout est fait pour améliorer les rotations, et tirer les prix de vente vers le bas. Des méthodes qui ne sont pas sans rappeler le hard-discount. D’ailleurs, en 1979, Trader Joe’s a tapé dans l’œil d’un certain Theo Albrecht. Au point que le cofondateur du groupe Aldi a racheté le distributeur américain, qui appartient toujours au holding familial. Aldi et Trader Joe’s sont – a priori – aux antipodes : Aldi se distingue par un modèle ultra-épuré et austère, alors que l’américain se veut décalé et coloré. Mais sur un plan commercial, les méthodes sont assez similaires. Si les synergies restent assez faibles, la marque Trader’s Joe a tout de même été importée en Europe, ou elle sert de MDD sur des catégories de produits vendues chez Aldi, comme les cacahuètes et certains produits apéritifs en France. La culture du secret d’Aldi a rejailli sur la chaîne, sur laquelle peu d’éléments sont publics. En 2010, le magazine Fortune estimait les ventes à 1 750 $ par pied ­carré, soit plus du double de Whole Foods. En tant que compagnie privée, le distributeur ne publie pas son chiffre d’affaires, qui était estimé à 8 Mrds $ par les analys­tes… il y a six ans. Depuis, l’enseigne a continué à grandir. Et annonce plusieurs fois par mois qu’elle va « jeter l’ancre » (ouvrir) dans de nouvelles villes, notamment Houston (Texas), Culver City (Californie) et New York.

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06
Juil
2016
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Paiement omnicanal : ce que les distributeurs doivent savoir

Décathlon, Ikea et voyages-sncf.com sont revenus le 5 juillet 2016, sur le paiement omnicanal, lors d’une matinée organisée par ACI Worldwide, un fournisseur de solutions de paiement à l’international. Les 3 di…

06
Juil
2016
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Lush ouvre sa plus grande boutique française

Samedi 9 juillet 2016, Lush va ouvrir sa nouvelle boutique dans le centre commercial des 4 temps à La Défense. La marque anglaise a changé d’emplacement afin de s’agrandir. La boutique est désormais la plus gra…

06
Juil
2016
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Neutrogena lance des soins du visage en grandes surfaces

La marque de Johnson & Johnson poursuit son développement en GMS avec des soins du visage hydratants. Les premiers produits Hydra Boost vont arriver en mi-juillet 2016, le reste de la ligne sortira en septembre. Lire l’article

06
Juil
2016
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Classement: les 50 champions mondiaux des produits de grande consommation (classement)

En partenariat avec LSA, OC&C Strategy Consultants publie jeudi 7 juillet 2016 la 14ème édition de son étude annuelle sur la stratégie et la performance des 50 champions mondiaux de la grande consommation. Un classemen…

05
Juil
2016
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Michel Gayraud, nouveau président de la Fédération française de spiritueux (FFS)

Michel Gayraud, président de Brown Forman France, succède à Sylvie Hénon-Badoinot, présidente de Bacardi-Martini Europe du Sud, à la tête de la Fédération française des spiritueux.

05
Juil
2016
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Bijouterie : Synalia met le siège sur Donjon

Synalia entre en négociations exclusives pour reprendre les 51 bijouteries Donjon. Lire l’article

05
Juil
2016
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L’Autorité de la concurrence a infligé plus d’1,2 milliard d’euros d’amende en 2015

Le président de l’Autorité de la concurrence devrait annoncer demain le bilan de l’exercice 2015, avec plus d’1 milliard d’euros d’amende, dont l’une pour le « cartel des colis » et l’autre pour les produits laitiers. Il devrait également révéler où sont les enquêtes sur les fusions Auchan Système U et Fnac Darty…

05
Juil
2016
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Asus fête les 10 ans de ROG, sa gamme dédiée au gaming

Le n°1 du marché gaming a investi la maison des métallos à Paris, le 4 juillet 2016, à l’occasion des 10 ans de Republic Of Gamers, sa gamme de produits destinés aux joueurs. Karim Ouahioune, directeur mar…

05
Juil
2016
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GiFi à Paris en octobre [exclusif LSA]

GiFi ouvrira en octobre 2016 son premier magasin à Paris, rue d’Alésia, dans le XIVème arrondissement.

05
Juil
2016
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Cafom (Habitat) améliore sa rentabilité

Le bulletin de santé de Cafom, qui possède entre autres Habitat, est plutôt bon. Le redressement de l’enseigne d’ameublement se poursuit.

05
Juil
2016
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FM Logistic et Walmart s’emparent de drones pour leurs inventaires

FM Logistic va tester Eyesee, le produit technologique de Hardis Group. Ce drone permettra d’automatiser les inventaires en scannant les palettes. De l’autre côté de l’Atlantique, Walmart a aussi des prétentions …

05
Juil
2016
Posted in Grande Distribution

La fiscalité des ménages a explosé en huit ans et ça devrait continuer…

Les débats à l’Assemblée nationale lors de la prochaine loi de finances devraient être nourrir compte tenu de l’explosion de la fiscalité des ménages de quelque 110 milliards depuis la crise de 2008, et alors que de nouvelles hausses et baisses sont programmées…Les entreprises ne sont pas en reste, avec 46 milliards d’euros de hausse.

05
Juil
2016
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Loi travail : L’instance de dialogue social dans le secteur de la franchise de nouveau en débat à l’Assemblée

L’article 29 A bis visant à instaurer une instance de dialogue social dans le secteur de la franchise supprimé par les sénateurs le 1er juin revient sur le devant de la scène à l’occasion de la seco…

05
Juil
2016
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Voici les start-up sélectionnées pour la première édition du #Foodtech Forum

Le 5 juillet 2016 à Paris, LSA donne la parole aux start-up de la food tech à l’occasion de la première édition du #Foodtech Forum. Tour d’horizon des jeunes pousses invitées, à l’occas…

05
Juil
2016
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Distriborg change de nom

Distriborg, le leader des produits bios en France, s’appelle désormais Bjorg, Bonneterre et Compagnie. La société change de nom par souci de cohérence. Lire l’article

04
Juil
2016
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Corine de Farme et Winnie lancent une gamme beauté pour les tout-petits

Corine de Farme qui détient en France les licences Disney pour les cosmétiques et les parfums vient de lancer une ligne pour les tout-petits, de 0 à 2 ans. Ce sont le célèbre ourson Winnie et ses amis qui en sont le…

04
Juil
2016
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Nicolas Bertrand, futur directeur du développement de Cosmebio

En septembre 2016, Nicolas Bertrand va succéder à Betty Santonnat au poste de directrice de développement de Cosmebio. Il était depuis huit ans à la tête d’Organics Cluster. Lire l’article

04
Juil
2016
Posted in Grande Distribution

Pour survivre, les entreprises doivent passer de l’omnicanal à l’omni-business

Loin d’être complètement aboutie, la tranformation de l’approche clients par les entreprises continue d’évoluer. Alors que l’omnicanal est érigé, à bien des égards, en modèle à suivre, une étude KPMG démontre que les entreprises devront aller encore plus loin, afin de répondre encore mieux aux attentes de leurs clients.

04
Juil
2016
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La loi Sapin II au Sénat, la FNSEA et la Feef montent au créneau

Afin d’influencer les sénateurs qui examinent depuis ce lundi 4 juillet la loi Sapin II, la fédération d’entreprises Feef et la FNSEA montent au créneau par voie de communiqué. La Feef veut la suppression de l’obligation de négocier dans une période fixée par la loi, la FNSEA veut que les prix payés aux producteurs soient intégrés dans des négociations tripartites…

04
Juil
2016
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Distribution 2016 : les 4 enseignements à retenir des 6 premiers mois…

Frédéric Boublil, fondateur du cabinet Boublil Conseil, est spécialiste de la distribution. Il livre pour LSA une rétrospective des enseignements à retenir des premiers mois de l’année 2016. Lire l…

04
Juil
2016
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Fin de l’aventure pour Balsamik

Balsamik cessera son activité après la saison automne-hiver 2016-2017. La fin de trois années d’aventures… chahutées.

04
Juil
2016
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9 chiffres sur le premier magasin de Costco France à venir

Après de longs périples administratifs, Costco a obtenu le feu vert pour construire son premier club-entrepôt en France. Les habitants de Villebon sur Yvette, en région parisienne, le découvriront au printemps prochain. En attendant cette échéance (et l’interview de Gary Swindells dans le prochain numéro du 7 juillet), LSA lève le voile sur quelques uns des chiffres clés de ce chantier, et de ce concept.

04
Juil
2016
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Avec « l’Atelier », Auchan dispose à son tour d’un concept dédié aux objets personnalisables

Dans la lignée des autres distributeurs qui ne cessent de développer des espaces dédiées à la personnalisation des objets (coques de téléphone, mugs, t-shirt, etc.), Auchan vient d’ouvrir son propre espace baptisé « l’Atelier » dans l’hypermarché de Faches Thumesnil.

04
Juil
2016
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Soldes d’été 2016 : un léger mieux en deuxième semaine… pour certains commerçants [Sondage]

La fréquentation des soldes en deuxième semaine baisse de 2,1 points par rapport aux soldes d’été précédents mais l’Euro 2016 continue à avoir un impact favorable sur certains marché…

04
Juil
2016
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Amorim va bientôt lancer un bouchon en liège français

Amorim soutient l’exploitation et le renouveau des forêts de chênes-lièges françaises depuis de nombreuses années. Ce leader mondial du liège va commercialiser un bouchon arborant le logo « Liège de France » dès 2017. Retrouvez les chiffres du liège français.