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Catégorie : Grande Distribution
LDLC.com débarque en Auvergne avec sa 18e boutique
Le spécialiste high-tech a annoncé l’ouverture d’une 18e boutique à Clermont-Ferrand le 24 juin 2016. Ce nouveau point de vente marque l’arrivée de LDLC.com dans la région (historique) Auvergne.&nb…
Parts de marché à P6 : grosse chute pour les hypermarchés Carrefour, pendant que Leclerc et Lidl flambent
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Parts de marché à P6 : grosse chute pour les hypermarchés Carrefour, Leclerc et Lidl flambent
Alors que Leclerc et Lidl ont chacun gagné 0,4 point de part de marché sur la P6 (du 16 mai au 12 juin 2016), les hypermarchés Carrefour enregistrent eux une très forte baisse du même ordre qui, cumulée &agrav…
Hervé Parizot, Carrefour : « Travailler avec des start-up a beaucoup de vertu, nous multiplions les tests »
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Dominique Chargé (FNCL) “La situation des producteurs laitiers est toujours très dégradée” [Interview]
Le président de la Fédération des coopératives laitières constate des niveaux de prix bien trop bas pour les producteurs laitiers, notamment en raison des pressions sur les MDD. Il veut des aides plus cohéren…
La Fédération française du prêt-à-porter féminin a un nouveau président
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Miliboo lance son premier miroir connecté [Vidéo]
Le pure player du meuble présente Ekko, un miroir connecté pour la maison, lors de l’évènement Viva Technology, qui se tient Porte de Versailles à Paris, du 30 juin au 2 juillet 2016. De manière tr&egra…
Sébastien Badault, DG France, Alibaba : « Alibaba est née en Chine mais a été créée pour le monde entier »
Le Chinese Business Club a tenu son traditionnel déjeuner rassemblant des investisseurs, diplomates, dirigeants et chefs d’entreprises, au sein du très prestigieux Shangri-La Hotel de Paris. A cette occasion, et pour la première fois depuis sa prise de fonction au sein d’Alibaba, Sébastien Badault, directeur général France du e-marchand a tenu une allocution dressant un état des lieux du développement économique de la Chine et du e-commerce chinois. Morceaux choisis.
Market Saint Marcel, le dernier Carrefour de centre-ville
Au terme de trois mois de fermetures et d’importants travaux, le Carrefour Market du boulevard Saint-Marcel, à la lisière du très chic Ve arrondissement parisien, a complètement changé de visage. Dès l’entrée, les clients sont désormais accueillis dans un lieu à la tonalité très gourmet : meules de fromage et jambons entiers sont rangés derrière des vitrines comme autant d’objets d’art. Et une fois les escaliers descendus pour accéder au magasin à proprement parler – un schéma atypique, comme le sont souvent les magasins parisiens en pied d’immeuble –, on entre dans le vif du sujet : là, c’est un pôle tout entier dédié aux métiers de bouche qui accueille le client.
Des ateliers de rencontres avec les clients en amont
Une nouveauté, là où il n’existait auparavant que des rayons libre-service. Boucher, charcutier, cave à maturation de viande, poissonnier et fromager sont désormais à pied d’œuvre, et représentent une bonne partie des 25 embauches réalisées, qui portent le nombre de salariés à 80. « Nous avons organisé des ateliers de rencontres avec nos clients. Leurs demandes portaient principalement sur le conseil, les services et les produits frais. Les clients du magasin sont à la recherche de produits de qualité et ils attendaient une poissonnerie, car il n’y en a pas dans les environs proches », explique Stéphanie Escales, directrice de Carrefour Market en Ile-de-France. Pour mieux se fondre dans le paysage urbain, et accentuer une vocation de proximité, le magasin affiche son nom, Saint Marcel, en lieu et place de Market, une signature reléguée un peu plus haut sur la façade. Un esprit de personnalisation qui n’est pas sans rappeler Franprix et le concept Mandarine.
Autre similitude avec le concurrent, une machine à jus d’orange trône dans le rayon des fruits et légumes, alors que des plats préparés sur place (gratin dauphinois, poulet,etc.) sont proposés en barquette. Une gageure dans ce magasin de 1 355 m² sur deux niveaux, où le moindre espace est rentabilisé. D’ailleurs, un circuit court dédié au snacking et à la vente à emporter est installé dès l’entrée, avec des caisses dédiées. Il est ouvert dès 7 h 30, contre 9 heures pour le magasin. Ce Market n’est pas comparable aux Market Gourmet italiens, dans lesquels la part de produits frais est beaucoup plus élevée. Mais Carrefour retravaille ce type d’offre de centre-ville : un Market Premium vient d’ouvrir à Varsovie, tout comme un Carrefour Express Premium à Madrid.
Un esprit de halles marchandes urbaines
Ici, la copie n’est pas la même, l’idée étant de renouer avec un esprit de halles marchandes et de produits frais. L’ambiance a été totalement retravaillée : décoration en briques et en brut, avec des touches de métal et du bois. Au rez-de-chaussée, le sec et le non-alimentaire ne sont pas en reste, avec des têtes de gondoles qualitatives et des « bibliothèques » (meubles hauts), qui mettent en avant des offres plus gourmets, des produits d’exception ou des PME partenaires. Le bio a gagné de la place, sur le rayon boucherie, mais aussi dans l’épicerie où il occupe plusieurs éléments. « C’est un magasin urbain, moderne et convivial, à l’image des attentes de nos clients », ajoute Stéphanie Escales.
Ce remodeling a été coûteux, car l’enveloppe dévolue à ce chantier correspond au montant généralement alloué à la création d’un magasin. Il a également compris la redéfinition de la zone de caisses, qui était jusqu’ici un gros point noir en termes d’agencement. Un pôle de caisses minute côtoie une double file unique, qui oriente le flux des clients. Sans oublier deux caisses dédiées à la livraison à domicile, un incontournable dans le quartier, où elle représente 20% des ventes.
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Market Saint Marcel, le dernier Carrefour de centre-ville
Au terme de trois mois de fermetures et d’importants travaux, le Carrefour Market du boulevard Saint-Marcel, à la lisière du très chic Ve arrondissement parisien, a complètement changé de visage. Dès l’entrée, les clients sont désormais accueillis dans un lieu à la tonalité très gourmet : meules de fromage et jambons entiers sont rangés derrière des vitrines comme autant d’objets d’art. Et une fois les escaliers descendus pour accéder au magasin à proprement parler – un schéma atypique, comme le sont souvent les magasins parisiens en pied d’immeuble –, on entre dans le vif du sujet : là, c’est un pôle tout entier dédié aux métiers de bouche qui accueille le client.
Des ateliers de rencontres avec les clients en amont
Une nouveauté, là où il n’existait auparavant que des rayons libre-service. Boucher, charcutier, cave à maturation de viande, poissonnier et fromager sont désormais à pied d’œuvre, et représentent une bonne partie des 25 embauches réalisées, qui portent le nombre de salariés à 80. « Nous avons organisé des ateliers de rencontres avec nos clients. Leurs demandes portaient principalement sur le conseil, les services et les produits frais. Les clients du magasin sont à la recherche de produits de qualité et ils attendaient une poissonnerie, car il n’y en a pas dans les environs proches », explique Stéphanie Escales, directrice de Carrefour Market en Ile-de-France. Pour mieux se fondre dans le paysage urbain, et accentuer une vocation de proximité, le magasin affiche son nom, Saint Marcel, en lieu et place de Market, une signature reléguée un peu plus haut sur la façade. Un esprit de personnalisation qui n’est pas sans rappeler Franprix et le concept Mandarine.
Autre similitude avec le concurrent, une machine à jus d’orange trône dans le rayon des fruits et légumes, alors que des plats préparés sur place (gratin dauphinois, poulet,etc.) sont proposés en barquette. Une gageure dans ce magasin de 1 355 m² sur deux niveaux, où le moindre espace est rentabilisé. D’ailleurs, un circuit court dédié au snacking et à la vente à emporter est installé dès l’entrée, avec des caisses dédiées. Il est ouvert dès 7 h 30, contre 9 heures pour le magasin. Ce Market n’est pas comparable aux Market Gourmet italiens, dans lesquels la part de produits frais est beaucoup plus élevée. Mais Carrefour retravaille ce type d’offre de centre-ville : un Market Premium vient d’ouvrir à Varsovie, tout comme un Carrefour Express Premium à Madrid.
Un esprit de halles marchandes urbaines
Ici, la copie n’est pas la même, l’idée étant de renouer avec un esprit de halles marchandes et de produits frais. L’ambiance a été totalement retravaillée : décoration en briques et en brut, avec des touches de métal et du bois. Au rez-de-chaussée, le sec et le non-alimentaire ne sont pas en reste, avec des têtes de gondoles qualitatives et des « bibliothèques » (meubles hauts), qui mettent en avant des offres plus gourmets, des produits d’exception ou des PME partenaires. Le bio a gagné de la place, sur le rayon boucherie, mais aussi dans l’épicerie où il occupe plusieurs éléments. « C’est un magasin urbain, moderne et convivial, à l’image des attentes de nos clients », ajoute Stéphanie Escales.
Ce remodeling a été coûteux, car l’enveloppe dévolue à ce chantier correspond au montant généralement alloué à la création d’un magasin. Il a également compris la redéfinition de la zone de caisses, qui était jusqu’ici un gros point noir en termes d’agencement. Un pôle de caisses minute côtoie une double file unique, qui oriente le flux des clients. Sans oublier deux caisses dédiées à la livraison à domicile, un incontournable dans le quartier, où elle représente 20% des ventes.
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Market Saint Marcel, le dernier Carrefour de centre-ville
Au terme de trois mois de fermetures et d’importants travaux, le Carrefour Market du boulevard Saint-Marcel, à la lisière du très chic Ve arrondissement parisien, a complètement changé de visage. Dès l’entrée, les clients sont désormais accueillis dans un lieu à la tonalité très gourmet : meules de fromage et jambons entiers sont rangés derrière des vitrines comme autant d’objets d’art. Et une fois les escaliers descendus pour accéder au magasin à proprement parler – un schéma atypique, comme le sont souvent les magasins parisiens en pied d’immeuble –, on entre dans le vif du sujet : là, c’est un pôle tout entier dédié aux métiers de bouche qui accueille le client.
Des ateliers de rencontres avec les clients en amont
Une nouveauté, là où il n’existait auparavant que des rayons libre-service. Boucher, charcutier, cave à maturation de viande, poissonnier et fromager sont désormais à pied d’œuvre, et représentent une bonne partie des 25 embauches réalisées, qui portent le nombre de salariés à 80. « Nous avons organisé des ateliers de rencontres avec nos clients. Leurs demandes portaient principalement sur le conseil, les services et les produits frais. Les clients du magasin sont à la recherche de produits de qualité et ils attendaient une poissonnerie, car il n’y en a pas dans les environs proches », explique Stéphanie Escales, directrice de Carrefour Market en Ile-de-France. Pour mieux se fondre dans le paysage urbain, et accentuer une vocation de proximité, le magasin affiche son nom, Saint Marcel, en lieu et place de Market, une signature reléguée un peu plus haut sur la façade. Un esprit de personnalisation qui n’est pas sans rappeler Franprix et le concept Mandarine.
Autre similitude avec le concurrent, une machine à jus d’orange trône dans le rayon des fruits et légumes, alors que des plats préparés sur place (gratin dauphinois, poulet,etc.) sont proposés en barquette. Une gageure dans ce magasin de 1 355 m² sur deux niveaux, où le moindre espace est rentabilisé. D’ailleurs, un circuit court dédié au snacking et à la vente à emporter est installé dès l’entrée, avec des caisses dédiées. Il est ouvert dès 7 h 30, contre 9 heures pour le magasin. Ce Market n’est pas comparable aux Market Gourmet italiens, dans lesquels la part de produits frais est beaucoup plus élevée. Mais Carrefour retravaille ce type d’offre de centre-ville : un Market Premium vient d’ouvrir à Varsovie, tout comme un Carrefour Express Premium à Madrid.
Un esprit de halles marchandes urbaines
Ici, la copie n’est pas la même, l’idée étant de renouer avec un esprit de halles marchandes et de produits frais. L’ambiance a été totalement retravaillée : décoration en briques et en brut, avec des touches de métal et du bois. Au rez-de-chaussée, le sec et le non-alimentaire ne sont pas en reste, avec des têtes de gondoles qualitatives et des « bibliothèques » (meubles hauts), qui mettent en avant des offres plus gourmets, des produits d’exception ou des PME partenaires. Le bio a gagné de la place, sur le rayon boucherie, mais aussi dans l’épicerie où il occupe plusieurs éléments. « C’est un magasin urbain, moderne et convivial, à l’image des attentes de nos clients », ajoute Stéphanie Escales.
Ce remodeling a été coûteux, car l’enveloppe dévolue à ce chantier correspond au montant généralement alloué à la création d’un magasin. Il a également compris la redéfinition de la zone de caisses, qui était jusqu’ici un gros point noir en termes d’agencement. Un pôle de caisses minute côtoie une double file unique, qui oriente le flux des clients. Sans oublier deux caisses dédiées à la livraison à domicile, un incontournable dans le quartier, où elle représente 20% des ventes.
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Market Saint Marcel, le dernier Carrefour de centre-ville
Au terme de trois mois de fermetures et d’importants travaux, le Carrefour Market du boulevard Saint-Marcel, à la lisière du très chic Ve arrondissement parisien, a complètement changé de visage. Dès l’entrée, les clients sont désormais accueillis dans un lieu à la tonalité très gourmet : meules de fromage et jambons entiers sont rangés derrière des vitrines comme autant d’objets d’art. Et une fois les escaliers descendus pour accéder au magasin à proprement parler – un schéma atypique, comme le sont souvent les magasins parisiens en pied d’immeuble –, on entre dans le vif du sujet : là, c’est un pôle tout entier dédié aux métiers de bouche qui accueille le client.
Des ateliers de rencontres avec les clients en amont
Une nouveauté, là où il n’existait auparavant que des rayons libre-service. Boucher, charcutier, cave à maturation de viande, poissonnier et fromager sont désormais à pied d’œuvre, et représentent une bonne partie des 25 embauches réalisées, qui portent le nombre de salariés à 80. « Nous avons organisé des ateliers de rencontres avec nos clients. Leurs demandes portaient principalement sur le conseil, les services et les produits frais. Les clients du magasin sont à la recherche de produits de qualité et ils attendaient une poissonnerie, car il n’y en a pas dans les environs proches », explique Stéphanie Escales, directrice de Carrefour Market en Ile-de-France. Pour mieux se fondre dans le paysage urbain, et accentuer une vocation de proximité, le magasin affiche son nom, Saint Marcel, en lieu et place de Market, une signature reléguée un peu plus haut sur la façade. Un esprit de personnalisation qui n’est pas sans rappeler Franprix et le concept Mandarine.
Autre similitude avec le concurrent, une machine à jus d’orange trône dans le rayon des fruits et légumes, alors que des plats préparés sur place (gratin dauphinois, poulet,etc.) sont proposés en barquette. Une gageure dans ce magasin de 1 355 m² sur deux niveaux, où le moindre espace est rentabilisé. D’ailleurs, un circuit court dédié au snacking et à la vente à emporter est installé dès l’entrée, avec des caisses dédiées. Il est ouvert dès 7 h 30, contre 9 heures pour le magasin. Ce Market n’est pas comparable aux Market Gourmet italiens, dans lesquels la part de produits frais est beaucoup plus élevée. Mais Carrefour retravaille ce type d’offre de centre-ville : un Market Premium vient d’ouvrir à Varsovie, tout comme un Carrefour Express Premium à Madrid.
Un esprit de halles marchandes urbaines
Ici, la copie n’est pas la même, l’idée étant de renouer avec un esprit de halles marchandes et de produits frais. L’ambiance a été totalement retravaillée : décoration en briques et en brut, avec des touches de métal et du bois. Au rez-de-chaussée, le sec et le non-alimentaire ne sont pas en reste, avec des têtes de gondoles qualitatives et des « bibliothèques » (meubles hauts), qui mettent en avant des offres plus gourmets, des produits d’exception ou des PME partenaires. Le bio a gagné de la place, sur le rayon boucherie, mais aussi dans l’épicerie où il occupe plusieurs éléments. « C’est un magasin urbain, moderne et convivial, à l’image des attentes de nos clients », ajoute Stéphanie Escales.
Ce remodeling a été coûteux, car l’enveloppe dévolue à ce chantier correspond au montant généralement alloué à la création d’un magasin. Il a également compris la redéfinition de la zone de caisses, qui était jusqu’ici un gros point noir en termes d’agencement. Un pôle de caisses minute côtoie une double file unique, qui oriente le flux des clients. Sans oublier deux caisses dédiées à la livraison à domicile, un incontournable dans le quartier, où elle représente 20% des ventes.
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Au terme de trois mois de fermetures et d’importants travaux, le Carrefour Market du boulevard Saint-Marcel, à la lisière du très chic Ve arrondissement parisien, a complètement changé de visage. Dès l’entrée, les clients sont désormais accueillis dans un lieu à la tonalité très gourmet : meules de fromage et jambons entiers sont rangés derrière des vitrines comme autant d’objets d’art. Et une fois les escaliers descendus pour accéder au magasin à proprement parler – un schéma atypique, comme le sont souvent les magasins parisiens en pied d’immeuble –, on entre dans le vif du sujet : là, c’est un pôle tout entier dédié aux métiers de bouche qui accueille le client.
Des ateliers de rencontres avec les clients en amont
Une nouveauté, là où il n’existait auparavant que des rayons libre-service. Boucher, charcutier, cave à maturation de viande, poissonnier et fromager sont désormais à pied d’œuvre, et représentent une bonne partie des 25 embauches réalisées, qui portent le nombre de salariés à 80. « Nous avons organisé des ateliers de rencontres avec nos clients. Leurs demandes portaient principalement sur le conseil, les services et les produits frais. Les clients du magasin sont à la recherche de produits de qualité et ils attendaient une poissonnerie, car il n’y en a pas dans les environs proches », explique Stéphanie Escales, directrice de Carrefour Market en Ile-de-France. Pour mieux se fondre dans le paysage urbain, et accentuer une vocation de proximité, le magasin affiche son nom, Saint Marcel, en lieu et place de Market, une signature reléguée un peu plus haut sur la façade. Un esprit de personnalisation qui n’est pas sans rappeler Franprix et le concept Mandarine.
Autre similitude avec le concurrent, une machine à jus d’orange trône dans le rayon des fruits et légumes, alors que des plats préparés sur place (gratin dauphinois, poulet,etc.) sont proposés en barquette. Une gageure dans ce magasin de 1 355 m² sur deux niveaux, où le moindre espace est rentabilisé. D’ailleurs, un circuit court dédié au snacking et à la vente à emporter est installé dès l’entrée, avec des caisses dédiées. Il est ouvert dès 7 h 30, contre 9 heures pour le magasin. Ce Market n’est pas comparable aux Market Gourmet italiens, dans lesquels la part de produits frais est beaucoup plus élevée. Mais Carrefour retravaille ce type d’offre de centre-ville : un Market Premium vient d’ouvrir à Varsovie, tout comme un Carrefour Express Premium à Madrid.
Un esprit de halles marchandes urbaines
Ici, la copie n’est pas la même, l’idée étant de renouer avec un esprit de halles marchandes et de produits frais. L’ambiance a été totalement retravaillée : décoration en briques et en brut, avec des touches de métal et du bois. Au rez-de-chaussée, le sec et le non-alimentaire ne sont pas en reste, avec des têtes de gondoles qualitatives et des « bibliothèques » (meubles hauts), qui mettent en avant des offres plus gourmets, des produits d’exception ou des PME partenaires. Le bio a gagné de la place, sur le rayon boucherie, mais aussi dans l’épicerie où il occupe plusieurs éléments. « C’est un magasin urbain, moderne et convivial, à l’image des attentes de nos clients », ajoute Stéphanie Escales.
Ce remodeling a été coûteux, car l’enveloppe dévolue à ce chantier correspond au montant généralement alloué à la création d’un magasin. Il a également compris la redéfinition de la zone de caisses, qui était jusqu’ici un gros point noir en termes d’agencement. Un pôle de caisses minute côtoie une double file unique, qui oriente le flux des clients. Sans oublier deux caisses dédiées à la livraison à domicile, un incontournable dans le quartier, où elle représente 20% des ventes.
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Au terme de trois mois de fermetures et d’importants travaux, le Carrefour Market du boulevard Saint-Marcel, à la lisière du très chic Ve arrondissement parisien, a complètement changé de visage. Dès l’entrée, les clients sont désormais accueillis dans un lieu à la tonalité très gourmet : meules de fromage et jambons entiers sont rangés derrière des vitrines comme autant d’objets d’art. Et une fois les escaliers descendus pour accéder au magasin à proprement parler – un schéma atypique, comme le sont souvent les magasins parisiens en pied d’immeuble –, on entre dans le vif du sujet : là, c’est un pôle tout entier dédié aux métiers de bouche qui accueille le client.
Des ateliers de rencontres avec les clients en amont
Une nouveauté, là où il n’existait auparavant que des rayons libre-service. Boucher, charcutier, cave à maturation de viande, poissonnier et fromager sont désormais à pied d’œuvre, et représentent une bonne partie des 25 embauches réalisées, qui portent le nombre de salariés à 80. « Nous avons organisé des ateliers de rencontres avec nos clients. Leurs demandes portaient principalement sur le conseil, les services et les produits frais. Les clients du magasin sont à la recherche de produits de qualité et ils attendaient une poissonnerie, car il n’y en a pas dans les environs proches », explique Stéphanie Escales, directrice de Carrefour Market en Ile-de-France. Pour mieux se fondre dans le paysage urbain, et accentuer une vocation de proximité, le magasin affiche son nom, Saint Marcel, en lieu et place de Market, une signature reléguée un peu plus haut sur la façade. Un esprit de personnalisation qui n’est pas sans rappeler Franprix et le concept Mandarine.
Autre similitude avec le concurrent, une machine à jus d’orange trône dans le rayon des fruits et légumes, alors que des plats préparés sur place (gratin dauphinois, poulet,etc.) sont proposés en barquette. Une gageure dans ce magasin de 1 355 m² sur deux niveaux, où le moindre espace est rentabilisé. D’ailleurs, un circuit court dédié au snacking et à la vente à emporter est installé dès l’entrée, avec des caisses dédiées. Il est ouvert dès 7 h 30, contre 9 heures pour le magasin. Ce Market n’est pas comparable aux Market Gourmet italiens, dans lesquels la part de produits frais est beaucoup plus élevée. Mais Carrefour retravaille ce type d’offre de centre-ville : un Market Premium vient d’ouvrir à Varsovie, tout comme un Carrefour Express Premium à Madrid.
Un esprit de halles marchandes urbaines
Ici, la copie n’est pas la même, l’idée étant de renouer avec un esprit de halles marchandes et de produits frais. L’ambiance a été totalement retravaillée : décoration en briques et en brut, avec des touches de métal et du bois. Au rez-de-chaussée, le sec et le non-alimentaire ne sont pas en reste, avec des têtes de gondoles qualitatives et des « bibliothèques » (meubles hauts), qui mettent en avant des offres plus gourmets, des produits d’exception ou des PME partenaires. Le bio a gagné de la place, sur le rayon boucherie, mais aussi dans l’épicerie où il occupe plusieurs éléments. « C’est un magasin urbain, moderne et convivial, à l’image des attentes de nos clients », ajoute Stéphanie Escales.
Ce remodeling a été coûteux, car l’enveloppe dévolue à ce chantier correspond au montant généralement alloué à la création d’un magasin. Il a également compris la redéfinition de la zone de caisses, qui était jusqu’ici un gros point noir en termes d’agencement. Un pôle de caisses minute côtoie une double file unique, qui oriente le flux des clients. Sans oublier deux caisses dédiées à la livraison à domicile, un incontournable dans le quartier, où elle représente 20% des ventes.
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Market Saint Marcel, le dernier Carrefour de centre-ville
Au terme de trois mois de fermetures et d’importants travaux, le Carrefour Market du boulevard Saint-Marcel, à la lisière du très chic Ve arrondissement parisien, a complètement changé de visage. Dès l’entrée, les clients sont désormais accueillis dans un lieu à la tonalité très gourmet : meules de fromage et jambons entiers sont rangés derrière des vitrines comme autant d’objets d’art. Et une fois les escaliers descendus pour accéder au magasin à proprement parler – un schéma atypique, comme le sont souvent les magasins parisiens en pied d’immeuble –, on entre dans le vif du sujet : là, c’est un pôle tout entier dédié aux métiers de bouche qui accueille le client.
Des ateliers de rencontres avec les clients en amont
Une nouveauté, là où il n’existait auparavant que des rayons libre-service. Boucher, charcutier, cave à maturation de viande, poissonnier et fromager sont désormais à pied d’œuvre, et représentent une bonne partie des 25 embauches réalisées, qui portent le nombre de salariés à 80. « Nous avons organisé des ateliers de rencontres avec nos clients. Leurs demandes portaient principalement sur le conseil, les services et les produits frais. Les clients du magasin sont à la recherche de produits de qualité et ils attendaient une poissonnerie, car il n’y en a pas dans les environs proches », explique Stéphanie Escales, directrice de Carrefour Market en Ile-de-France. Pour mieux se fondre dans le paysage urbain, et accentuer une vocation de proximité, le magasin affiche son nom, Saint Marcel, en lieu et place de Market, une signature reléguée un peu plus haut sur la façade. Un esprit de personnalisation qui n’est pas sans rappeler Franprix et le concept Mandarine.
Autre similitude avec le concurrent, une machine à jus d’orange trône dans le rayon des fruits et légumes, alors que des plats préparés sur place (gratin dauphinois, poulet,etc.) sont proposés en barquette. Une gageure dans ce magasin de 1 355 m² sur deux niveaux, où le moindre espace est rentabilisé. D’ailleurs, un circuit court dédié au snacking et à la vente à emporter est installé dès l’entrée, avec des caisses dédiées. Il est ouvert dès 7 h 30, contre 9 heures pour le magasin. Ce Market n’est pas comparable aux Market Gourmet italiens, dans lesquels la part de produits frais est beaucoup plus élevée. Mais Carrefour retravaille ce type d’offre de centre-ville : un Market Premium vient d’ouvrir à Varsovie, tout comme un Carrefour Express Premium à Madrid.
Un esprit de halles marchandes urbaines
Ici, la copie n’est pas la même, l’idée étant de renouer avec un esprit de halles marchandes et de produits frais. L’ambiance a été totalement retravaillée : décoration en briques et en brut, avec des touches de métal et du bois. Au rez-de-chaussée, le sec et le non-alimentaire ne sont pas en reste, avec des têtes de gondoles qualitatives et des « bibliothèques » (meubles hauts), qui mettent en avant des offres plus gourmets, des produits d’exception ou des PME partenaires. Le bio a gagné de la place, sur le rayon boucherie, mais aussi dans l’épicerie où il occupe plusieurs éléments. « C’est un magasin urbain, moderne et convivial, à l’image des attentes de nos clients », ajoute Stéphanie Escales.
Ce remodeling a été coûteux, car l’enveloppe dévolue à ce chantier correspond au montant généralement alloué à la création d’un magasin. Il a également compris la redéfinition de la zone de caisses, qui était jusqu’ici un gros point noir en termes d’agencement. Un pôle de caisses minute côtoie une double file unique, qui oriente le flux des clients. Sans oublier deux caisses dédiées à la livraison à domicile, un incontournable dans le quartier, où elle représente 20% des ventes.
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Market Saint Marcel, le dernier Carrefour de centre-ville
Au terme de trois mois de fermetures et d’importants travaux, le Carrefour Market du boulevard Saint-Marcel, à la lisière du très chic Ve arrondissement parisien, a complètement changé de visage. Dès l’entrée, les clients sont désormais accueillis dans un lieu à la tonalité très gourmet : meules de fromage et jambons entiers sont rangés derrière des vitrines comme autant d’objets d’art. Et une fois les escaliers descendus pour accéder au magasin à proprement parler – un schéma atypique, comme le sont souvent les magasins parisiens en pied d’immeuble –, on entre dans le vif du sujet : là, c’est un pôle tout entier dédié aux métiers de bouche qui accueille le client.
Des ateliers de rencontres avec les clients en amont
Une nouveauté, là où il n’existait auparavant que des rayons libre-service. Boucher, charcutier, cave à maturation de viande, poissonnier et fromager sont désormais à pied d’œuvre, et représentent une bonne partie des 25 embauches réalisées, qui portent le nombre de salariés à 80. « Nous avons organisé des ateliers de rencontres avec nos clients. Leurs demandes portaient principalement sur le conseil, les services et les produits frais. Les clients du magasin sont à la recherche de produits de qualité et ils attendaient une poissonnerie, car il n’y en a pas dans les environs proches », explique Stéphanie Escales, directrice de Carrefour Market en Ile-de-France. Pour mieux se fondre dans le paysage urbain, et accentuer une vocation de proximité, le magasin affiche son nom, Saint Marcel, en lieu et place de Market, une signature reléguée un peu plus haut sur la façade. Un esprit de personnalisation qui n’est pas sans rappeler Franprix et le concept Mandarine.
Autre similitude avec le concurrent, une machine à jus d’orange trône dans le rayon des fruits et légumes, alors que des plats préparés sur place (gratin dauphinois, poulet,etc.) sont proposés en barquette. Une gageure dans ce magasin de 1 355 m² sur deux niveaux, où le moindre espace est rentabilisé. D’ailleurs, un circuit court dédié au snacking et à la vente à emporter est installé dès l’entrée, avec des caisses dédiées. Il est ouvert dès 7 h 30, contre 9 heures pour le magasin. Ce Market n’est pas comparable aux Market Gourmet italiens, dans lesquels la part de produits frais est beaucoup plus élevée. Mais Carrefour retravaille ce type d’offre de centre-ville : un Market Premium vient d’ouvrir à Varsovie, tout comme un Carrefour Express Premium à Madrid.
Un esprit de halles marchandes urbaines
Ici, la copie n’est pas la même, l’idée étant de renouer avec un esprit de halles marchandes et de produits frais. L’ambiance a été totalement retravaillée : décoration en briques et en brut, avec des touches de métal et du bois. Au rez-de-chaussée, le sec et le non-alimentaire ne sont pas en reste, avec des têtes de gondoles qualitatives et des « bibliothèques » (meubles hauts), qui mettent en avant des offres plus gourmets, des produits d’exception ou des PME partenaires. Le bio a gagné de la place, sur le rayon boucherie, mais aussi dans l’épicerie où il occupe plusieurs éléments. « C’est un magasin urbain, moderne et convivial, à l’image des attentes de nos clients », ajoute Stéphanie Escales.
Ce remodeling a été coûteux, car l’enveloppe dévolue à ce chantier correspond au montant généralement alloué à la création d’un magasin. Il a également compris la redéfinition de la zone de caisses, qui était jusqu’ici un gros point noir en termes d’agencement. Un pôle de caisses minute côtoie une double file unique, qui oriente le flux des clients. Sans oublier deux caisses dédiées à la livraison à domicile, un incontournable dans le quartier, où elle représente 20% des ventes.
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Avec Launchpad, Amazon veut booster les startups françaises
L’e-marchand lance son programme ‘Launchpad’ en France. Il a vocation à mettre en avant au sein d’une boutiquet dédiée sur sa plateforme, les produits développés spécifiquement par des…
Avec Launchpad, Amazon veut booster les startups françaises
L’e-marchand lance son programme ‘Launchpad’ en France. Il a vocation à mettre en avant au sein d’une boutiquet dédiée sur sa plateforme, les produits développés spécifiquement par des…
leboncoin inaugure son pop-up store déco
Inauguré le jeudi 30 juin 2016, le nouveau pop-up store leboncoin est dédié à l’univers de la déco. La boutique éphémère, installée à Grand Train à Paris, sera accessi…
La compensation de marge: comment s’y opposer [Tribune]
Marie du Gardin, avocat associé et directeur du département concurrence distribution chez Fidal et Karen Luzi avocat senior du département concurrence distribution de chez Fidal donnent leur avis sur l’épineuse question des compensations de marge. Ces sommes que les distributeurs réclament à leurs fournisseurs en cours d’année.
Le petit déjeuner, un rituel en perte de vitesse
La faute à l’évolution des modes de vie et de consommation, le petit déjeuner est de plus en plus souvent délaissé. Deux stratégies pour y remédier : défendre son statut de repas in…
Quels sont les distributeurs préférés des jeunes diplômés ?
Les étudiants consacrent de nouveau Decathlon dans le palmarès des enseignes où ils aspirent à travailler. Pour attirer les profils recherchés, les distributeurs nouent de plus en plus de partenariats avec le tissu …
Les bons mots du géant mondial du meuble Ikea
La chaîne d’ameublement a tout de la firme mondiale. En invitant 270 journalistes de 40 pays pour les « Democratic Design Days » à Älmhult, en Suède, elle fait la démonstration de s…
Carrefour s’engage sur le handicap [chiffres]
Carrefour préside cette année le bureau du réseau handicap de l’organisation internationale du travail (OIT). Ce mercredi 29 juin, le groupe et son PDG Georges Plassat ont accueilli une réunion pour échanger s…
King Jouet : « Nous sommes entrés dans une spirale positive » [Interview]
Après une bonne année 2015, le spécialiste du jouet King Jouet entend étonner lors de la prochaine saison de Noël avec de nouveaux services et animations centrés sur l’idée de « faciliter la vie des parents »… mais pas seulement. Explications avec Sébastien Pingault, directeur commercial de King Jouet.
Parapharmacies : les ventes d’hygiène-beauté en recul en mai 2016
Par rapport à la même période l’an passé, le chiffre d’affaires en hygiène-beauté dans les parapharmacies de grandes surfaces a reculé au mois de mai 2016 selon le baromètre Iri r&eac…
Sentosphère se diversifie dans le cartonnage avec le rachat de l’un de ses fournisseurs
Véronique Debroise, fondatrice des jeux et loisirs créatifs Sentosphère, a racheté la Scop RCI-AGC Luxe via son entreprise de production et de conditionnement Prosentos. Fournisseur historique de boîtes et autres emb…
King Jouet : « Nous sommes entrés dans une spirale positive » [Interview]
Après une bonne année 2015, le spécialiste du jouet King Jouet entend étonner lors de la prochaine saison de Noël avec de nouveaux services et animations centrés sur l’idée de « faciliter la vie des parents »… mais pas seulement. Explications avec Sébastien Pingault, directeur commercial de King Jouet.
MDD Expo devient le M.A.D.E.
Le salon MDD Expo change de nom, de positionnement et de concept et devient M.A.D.E. (Marques associées Distribution Event). Lire l’article
Les sacs plastiques, c’est fini à partir du 1er juillet
Dans deux jours, le 1er juillet 2016, les sacs plastique à usage unique ne seront plus distribués aux caisses des magasins. La ministre de l’Ecologie s’en félicite, E.Leclerc lance une campagne pour rappeler qu’…