A Paris-Saclay, les derniers irréductibles

« Partir, c’est mourir un peu », regrettait il y a plus d’un siècle le poète Edmond Haraucourt. Un précepte que les étudiants qui doivent rejoindre le plateau de Saclay s’approprient sur fond de contestation. C'est la version école d’ingénieurs d’Astérix le Gaulois, qui, album après […] Lire l'article

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Author: Redaction