L’absence de colonne vertébrale de notre personnel politique est une malédiction pour le peuple. Mais parfois, par un amusant retournement de situation, elle peut devenir une bénédiction.
Hormis en Hongrie et en Italie où la droite est au pouvoir, ce sont des gouvernements de gauche et centre-gauche qui mettent en place peu à peu des politiques d’immigration de plus en plus restrictives en Europe. Et la raison en est simple : la poussée des partis de droite nationale.
Or, s’il y a bien quelque chose qui compte pour un politicien, c’est de garder son « emploi ». Ils feraient tout et n’importe quoi pour rester en poste. Ils inaugurent des mosquées lorsque ça peut leur permettre de récupérer 666 voix à l’élection municipale, et le lendemain ils sont à la fête de la bière et du cochon. À l’échelle nationale, c’est pareil. Ces pleutres feraient tout pour garder les places au chaud. Ainsi donc, lorsque la poussée populaire devient forte et exige tellement un contrôle de l’immigration qu’il porte les partis de droite nationale aux portes du pouvoir, ces politicards se découvrent soudain des élans patriotes et mettent en place les politiques souhaitées. Tout, plutôt que de laisser d’autres prendre le pouvoir. Tout, plutôt que de perdre l’accès aux palais dorés.
En France, c’est un petit peu plus compliqué, parce que la puissance de la franc-maçonnerie internationaliste et anti-France, transversale entre tous les partis « de gouvernement », fait que ces sujets entrent dans une sphère idéologique, philosophique, et qu’il est quasiment impossible pour un homme de gauche d’écouter les désirs du peuple et de s’y soumettre.
Mais la leçon est néanmoins claire : il faut continuer à pousser, à chaque élection. Pousser, pousser, jusqu’à ce que les digues se rompent, d’une manière ou d’une autre. C’est ainsi que le peuple reprendra ce qu’on lui a volé : le pouvoir.
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