Paris, de nouveau ensanglanté par la barbarie

Un nouvel attentat islamiste a été commis à Paris dans le quartier de l’Opéra. Un jeune homme de 29 ans a trouvé la  mort, égorgé. Dans ce genre de situation, on éprouve une gigantesque et indescriptible compassion envers les parents, la famille, les proches de la victime. On se dit que ce pourrait tout aussi bien être un frère, un enfant, un ami et on est saisi d’une douleur insupportable devant la barbarie absolue, du sang versé pour une idéologie sanguinaire qui rappelle les pires atrocités de l’histoire. Ceci est également le fruit du discours de fatalisme, selon lequel « il faut s’habituer au terrorisme ». Non, on ne s’y  habituera jamais.  245 personnes ont été massacrées à Paris depuis deux ans et demi. La première mission d’un Etat est de protéger ses citoyens. Non, on ne s’y habituera jamais. On ne doit pas s’y habituer. La banalisation du terrorisme en France, depuis 2015, n’est pas le résultat d’une fatalité mais le signe d’un échec collectif. Il faudra bien avoir le courage de poser ce diagnostic.

Maxime TANDONNET

 

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Author: Redaction

Paris, de nouveau ensanglanté par la barbarie

Un nouvel attentat islamiste a été commis à Paris dans le quartier de l’Opéra. Un jeune homme de 29 ans a trouvé la  mort, égorgé. Dans ce genre de situation, on éprouve une gigantesque et indescriptible compassion envers les parents, la famille, les proches de la victime. On se dit que ce pourrait tout aussi bien être un frère, un enfant, un ami et on est saisi d’une douleur insupportable devant la barbarie absolue, du sang versé pour une idéologie sanguinaire qui rappelle les pires atrocités de l’histoire. Ceci est également le fruit du discours de fatalisme, selon lequel « il faut s’habituer au terrorisme ». Non, on ne s’y  habituera jamais.  245 personnes ont été massacrées à Paris depuis deux ans et demi. La première mission d’un Etat est de protéger ses citoyens. Non, on ne s’y habituera jamais. On ne doit pas s’y habituer. La banalisation du terrorisme en France, depuis 2015, n’est pas le résultat d’une fatalité mais le signe d’un échec collectif. Il faudra bien avoir le courage de poser ce diagnostic.

Maxime TANDONNET

 

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