L’eurocratisme destructeur de l’Europe

Européen dans l’âme, oui je pense l’être comme une immense majorité de français. Difficile d’être plus Européen que ce que je vais dire et pense réellement: de par mes racines, ma culture, mon histoire personnelle, ma sensibilité,  je suis autant Allemand, Anglais, Roumain, Portugais, russe et Italien que Français. Comment être plus Européen? En vacances au Portugal, en déplacement en Roumanie, je me sens plus chez moi que dans beaucoup de régions françaises. Je crois en une nation européenne, de culture, d’histoire, de tradition européenne, profondément unie face aux géants planétaires de l’avenir, l’Inde (1,5 Milliards d’habitants), la Chine (1,4), le Nigéria (1 milliard), le Brésil, l’Amérique, etc. Face aux menaces planétaires, terrorisme islamiste, bulles financières, crises migratoires, explosion démographique, guerres ethniques, destruction des ressources et de l’environnement, le sort des Européens est intrinsèquement, profondément imbriqué. Mais pourtant, tout ce que l’on appelle « construction européenne » depuis les années 2000, se traduisant par la mise en place d’un gigantesque bulldozer  bureaucratique, entraîne en ce moment les Européens dans une monstrueuse impasse. Le Brexit est un désastre absolu, contre l’histoire, contre l’intérêt des Européens. L’Angleterre est l’Europe. La révolution industrielle est partie d’elle. Elle a inventé les libertés (Habeas corpus) et la démocratie parlementaire. A travers son chef Churchill et son peuple courageux, elle seule, en Europe a résisté au nazisme, avant de l’écraser comme une mouche vénéneuse. C’est à elle avant tout, comme aux Russes et aux Américains, mais plus tard, que nous devons notre mode de vie et notre liberté. La France et l’Angleterre sont deux nations sœurs jumelles: il ne peut y avoir l’une sans l’autre. Les frontières nord de la France sont imprégnées de sang français et anglais versé de 1914 à 1918, pour la défense du monde libre. Il faudrait l’oublier?  Penser l’Europe sans l’Angleterre est une crétinerie sans nom, totalement banalisée. Cette idée débile, parfaitement admise de tout le monde, n’est que le signe de l’abaissement intellectuel de notre pays. Et puis, comment ne pas voir la réalité, la Grèce, la Pologne, la Hongrie, suivent le même chemin, celui de la sortie. La poussée de l’extrême droite en Allemagne, l’arrivée de 90 députés nationalistes au Reichtag, du jamais vu depuis 1929,  cet événement vertigineux, après la honteuse poussée de l’extrême droite en France, ne trouble personne…  Un processus de désintégration est en cours, dans l’aveuglement général. Mais la bêtise est maîtresse de ce monde. Plutôt que de se dire: tout est à repenser, à reconstruire, fonder sur des bases nouvelles, démocratiques, décentralisées, proches des citoyens de l’Europe, de leur souffrances et de leurs préoccupations,  avec les Britanniques et les Polonais, le réflexe de nos élites dirigeantes est de dire: persévérons avec nos œillères dans la voie qui conduit au désastre, créons plus de bureaucratie, plus de contraintes, plus des mépris des peuples. Accélérons notre oeuvre de destruction. Il est même question désormais de créer des euro-taxes! Franchement, il arrive un niveau de vertige où l’on ne sait plus que dire, que faire, que penser…

Maxime TANDONNET


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Author: Redaction

L’eurocratisme destructeur de l’Europe

Européen dans l’âme, oui je pense l’être comme une immense majorité de français. Difficile d’être plus Européen que ce que je vais dire et pense réellement: de par mes racines, ma culture, mon histoire personnelle, ma sensibilité,  je suis autant Allemand, Anglais, Roumain, Portugais, russe et Italien que Français. Comment être plus Européen? En vacances au Portugal, en déplacement en Roumanie, je me sens plus chez moi que dans beaucoup de régions françaises. Je crois en une nation européenne, de culture, d’histoire, de tradition européenne, profondément unie face aux géants planétaires de l’avenir, l’Inde (1,5 Milliards d’habitants), la Chine (1,4), le Nigéria (1 milliard), le Brésil, l’Amérique, etc. Face aux menaces planétaires, terrorisme islamiste, bulles financières, crises migratoires, explosion démographique, guerres ethniques, destruction des ressources et de l’environnement, le sort des Européens est intrinsèquement, profondément imbriqué. Mais pourtant, tout ce que l’on appelle « construction européenne » depuis les années 2000, se traduisant par la mise en place d’un gigantesque bulldozer  bureaucratique, entraîne en ce moment les Européens dans une monstrueuse impasse. Le Brexit est un désastre absolu, contre l’histoire, contre l’intérêt des Européens. L’Angleterre est l’Europe. La révolution industrielle est partie d’elle. Elle a inventé les libertés (Habeas corpus) et la démocratie parlementaire. A travers son chef Churchill et son peuple courageux, elle seule, en Europe a résisté au nazisme, avant de l’écraser comme une mouche vénéneuse. C’est à elle avant tout, comme aux Russes et aux Américains, mais plus tard, que nous devons notre mode de vie et notre liberté. La France et l’Angleterre sont deux nations sœurs jumelles: il ne peut y avoir l’une sans l’autre. Les frontières nord de la France sont imprégnées de sang français et anglais versé de 1914 à 1918, pour la défense du monde libre. Il faudrait l’oublier?  Penser l’Europe sans l’Angleterre est une crétinerie sans nom, totalement banalisée. Cette idée débile, parfaitement admise de tout le monde, n’est que le signe de l’abaissement intellectuel de notre pays. Et puis, comment ne pas voir la réalité, la Grèce, la Pologne, la Hongrie, suivent le même chemin, celui de la sortie. La poussée de l’extrême droite en Allemagne, l’arrivée de 90 députés nationalistes au Reichtag, du jamais vu depuis 1929,  cet événement vertigineux, après la honteuse poussée de l’extrême droite en France, ne trouble personne…  Un processus de désintégration est en cours, dans l’aveuglement général. Mais la bêtise est maîtresse de ce monde. Plutôt que de se dire: tout est à repenser, à reconstruire, fonder sur des bases nouvelles, démocratiques, décentralisées, proches des citoyens de l’Europe, de leur souffrances et de leurs préoccupations,  avec les Britanniques et les Polonais, le réflexe de nos élites dirigeantes est de dire: persévérons avec nos œillères dans la voie qui conduit au désastre, créons plus de bureaucratie, plus de contraintes, plus des mépris des peuples. Accélérons notre oeuvre de destruction. Il est même question désormais de créer des euro-taxes! Franchement, il arrive un niveau de vertige où l’on ne sait plus que dire, que faire, que penser…

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Européen dans l’âme, oui je pense l’être comme une immense majorité de français. Difficile d’être plus Européen que ce que je vais dire et pense réellement: de par mes racines, ma culture, mon histoire personnelle, ma sensibilité,  je suis autant Allemand, Anglais, Roumain, Portugais, russe et Italien que Français. Comment être plus Européen? En vacances au Portugal, en déplacement en Roumanie, je me sens plus chez moi que dans beaucoup de régions françaises. Je crois en une nation européenne, de culture, d’histoire, de tradition européenne, profondément unie face aux géants planétaires de l’avenir, l’Inde (1,5 Milliards d’habitants), la Chine (1,4), le Nigéria (1 milliard), le Brésil, l’Amérique, etc. Face aux menaces planétaires, terrorisme islamiste, bulles financières, crises migratoires, explosion démographique, guerres ethniques, destruction des ressources et de l’environnement, le sort des Européens est intrinsèquement, profondément imbriqué. Mais pourtant, tout ce que l’on appelle « construction européenne » depuis les années 2000, se traduisant par la mise en place d’un gigantesque bulldozer  bureaucratique, entraîne en ce moment les Européens dans une monstrueuse impasse. Le Brexit est un désastre absolu, contre l’histoire, contre l’intérêt des Européens. L’Angleterre est l’Europe. La révolution industrielle est partie d’elle. Elle a inventé les libertés (Habeas corpus) et la démocratie parlementaire. A travers son chef Churchill et son peuple courageux, elle seule, en Europe a résisté au nazisme, avant de l’écraser comme une mouche vénéneuse. C’est à elle avant tout, comme aux Russes et aux Américains, mais plus tard, que nous devons notre mode de vie et notre liberté. La France et l’Angleterre sont deux nations sœurs jumelles: il ne peut y avoir l’une sans l’autre. Les frontières nord de la France sont imprégnées de sang français et anglais versé de 1914 à 1918, pour la défense du monde libre. Il faudrait l’oublier?  Penser l’Europe sans l’Angleterre est une crétinerie sans nom, totalement banalisée. Cette idée débile, parfaitement admise de tout le monde, n’est que le signe de l’abaissement intellectuel de notre pays. Et puis, comment ne pas voir la réalité, la Grèce, la Pologne, la Hongrie, suivent le même chemin, celui de la sortie. La poussée de l’extrême droite en Allemagne, l’arrivée de 90 députés nationalistes au Reichtag, du jamais vu depuis 1929,  cet événement vertigineux, après la honteuse poussée de l’extrême droite en France, ne trouble personne…  Un processus de désintégration est en cours, dans l’aveuglement général. Mais la bêtise est maîtresse de ce monde. Plutôt que de se dire: tout est à repenser, à reconstruire, fonder sur des bases nouvelles, démocratiques, décentralisées, proches des citoyens de l’Europe, de leur souffrances et de leurs préoccupations,  avec les Britanniques et les Polonais, le réflexe de nos élites dirigeantes est de dire: persévérons avec nos œillères dans la voie qui conduit au désastre, créons plus de bureaucratie, plus de contraintes, plus des mépris des peuples. Accélérons notre oeuvre de destruction. Il est même question désormais de créer des euro-taxes! Franchement, il arrive un niveau de vertige où l’on ne sait plus que dire, que faire, que penser…

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Européen dans l’âme, oui je pense l’être comme une immense majorité de français. Difficile d’être plus Européen que ce que je vais dire et pense réellement: de par mes racines, ma culture, mon histoire personnelle, ma sensibilité,  je suis autant Allemand, Anglais, Roumain, Portugais, russe et Italien que Français. Comment être plus Européen? En vacances au Portugal, en déplacement en Roumanie, je me sens plus chez moi que dans beaucoup de régions françaises. Je crois en une nation européenne, de culture, d’histoire, de tradition européenne, profondément unie face aux géants planétaires de l’avenir, l’Inde (1,5 Milliards d’habitants), la Chine (1,4), le Nigéria (1 milliard), le Brésil, l’Amérique, etc. Face aux menaces planétaires, terrorisme islamiste, bulles financières, crises migratoires, explosion démographique, guerres ethniques, destruction des ressources et de l’environnement, le sort des Européens est intrinsèquement, profondément imbriqué. Mais pourtant, tout ce que l’on appelle « construction européenne » depuis les années 2000, se traduisant par la mise en place d’un gigantesque bulldozer  bureaucratique, entraîne en ce moment les Européens dans une monstrueuse impasse. Le Brexit est un désastre absolu, contre l’histoire, contre l’intérêt des Européens. L’Angleterre est l’Europe. La révolution industrielle est partie d’elle. Elle a inventé les libertés (Habeas corpus) et la démocratie parlementaire. A travers son chef Churchill et son peuple courageux, elle seule, en Europe a résisté au nazisme, avant de l’écraser comme une mouche vénéneuse. C’est à elle avant tout, comme aux Russes et aux Américains, mais plus tard, que nous devons notre mode de vie et notre liberté. La France et l’Angleterre sont deux nations sœurs jumelles: il ne peut y avoir l’une sans l’autre. Les frontières nord de la France sont imprégnées de sang français et anglais versé de 1914 à 1918, pour la défense du monde libre. Il faudrait l’oublier?  Penser l’Europe sans l’Angleterre est une crétinerie sans nom, totalement banalisée. Cette idée débile, parfaitement admise de tout le monde, n’est que le signe de l’abaissement intellectuel de notre pays. Et puis, comment ne pas voir la réalité, la Grèce, la Pologne, la Hongrie, suivent le même chemin, celui de la sortie. La poussée de l’extrême droite en Allemagne, l’arrivée de 90 députés nationalistes au Reichtag, du jamais vu depuis 1929,  cet événement vertigineux, après la honteuse poussée de l’extrême droite en France, ne trouble personne…  Un processus de désintégration est en cours, dans l’aveuglement général. Mais la bêtise est maîtresse de ce monde. Plutôt que de se dire: tout est à repenser, à reconstruire, fonder sur des bases nouvelles, démocratiques, décentralisées, proches des citoyens de l’Europe, de leur souffrances et de leurs préoccupations,  avec les Britanniques et les Polonais, le réflexe de nos élites dirigeantes est de dire: persévérons avec nos œillères dans la voie qui conduit au désastre, créons plus de bureaucratie, plus de contraintes, plus des mépris des peuples. Accélérons notre oeuvre de destruction. Il est même question désormais de créer des euro-taxes! Franchement, il arrive un niveau de vertige où l’on ne sait plus que dire, que faire, que penser…

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