Les activités humaines augmentent le flux de carbone des écosystèmes terrestres vers les rivières et les estuaires

Une équipe de recherche internationale, à laquelle ont participé le Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (IPSL/LSCE – CEA/CNRS/UVSQ) et le laboratoire « Géosciences environnement Toulouse » (CNRS/IRD/Université Paul Sabatier Toulouse 3) a comptabilisé précisément les bilans d'émission et de capture des gaz à effet de serre au niveau des rivières, estuaires et zones côtières - ou « continuum aquatique terre-mer ». Cette étude a permis de déterminer que l'activité humaine a significativement changé l'exportation de carbone des écosystèmes terrestres vers les rivières et les estuaires. Les résultats montrent qu'une fraction du carbone émis depuis la période pré-industrielle reste séquestrée dans les sédiments du « continuum aquatique terre-mer » au lieu d'être stockée dans les écosystèmes terrestres tandis qu'une autre est relâchée sous forme de CO2 vers l'océan et ensuite vers l'atmosphère. Ces résultats sont publiés dans .

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Author: Redaction