Covid 19, c’est nous qui avions raison (mais où sont passés les responsables du fiasco?)

Pendant deux ans, nous n’avons eu de cesse de fustiger violemment la succession des mesures liberticides auxquelles l’épidémie de covid 19 a donné lieu: les confinements policiers, les couvre-feu, l’Absurdistan (fermeture des librairies), les excès du passe sanitaire (interdiction d’accès aux terrasse des cafés), l’abominable et absurde passe vaccinal destiné à « emmerder les non vaccinés« . Nous avons dénoncé sans relâche une politique de despotisme sanitaire, consistant à alimenter la peur par des prédictions apocalyptiques et en parallèle, étouffer les libertés publiques tout en désignant des boucs émissaires à la vindicte de la foule apeurée (les non vaccinés) dans la perspective des élections nationales. Et cela ne fonctionnait pas si mal: une immense partie de l’opinion de droite comme de gauche approuvait, crachant sur les non vaccinés, jubilant à leur malheur, appelant à les exclure et les terroriser toujours davantage. Do you remember? Nous qui n’étions pas dans la ligne avons été insultés, traînés dans la boue, parfois même par des proches: « irresponsable, complotiste, imbécile, populiste, criminel (sic) etc. » Le seul fait de s’interroger sur l’efficacité d’un vaccin – considéré alors comme le remède miracle mais qui depuis a largement montré ses limites – revenait à sombrer dans les ténèbres de la diabolisation. Aujourd’hui la septième vague sévit, ni plus ni moins virulente que les précédentes. Mais la mode a changé. Le contexte n’est plus le même, surtout politique. En écartant à ce stade tout retour à la tyrannie sanitaire, le pouvoir reconnaît implicitement sa responsabilité liberticide pendant deux ans. Tout cela était bel et bien inutile et absurde. Les dégâts causés sont irrémédiables: gigantesque endettement du pays, faillites, souffrances et malheurs individuels qui resteront à jamais gravés dans les mémoires. D’ailleurs, les soignants ne sont toujours pas réintégrés. Mais les responsables de ce gigantesque fiasco sont toujours en place, droits dans leur bottes, comme si rien jamais ne s’était passé.

MT

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Author: Redaction