Le Conseil d’Etat saisi par l’Association contre deux Leclerc du Loiret a notamment argué de l’illégalité de la circulaire du 28 août 2008. Qui avait, un temps, sur interprétation fautive d’une tolérance au seuil de 1 000 m², ouvert la vanne des extensions de… 999 m² à répétitions. Claude Diot, le président de l’Association en toute franchise déclare ne pas vouloir s’en tenir là. Et interpelle Députés et Sénateur sur la dénonciation desdites "surfaces illicites".
Relais de brèves