Les sciences po dans la tourmente

Une étrange épidémie frappe les sciences po (IEP ou instituts d’études politiques) les uns après les autres. Tout à commencé avec le roi des sciences po, sciences po Paris, le plus prestigieux. L’affaire Olivier Duhamel, mettant en cause son directeur, M. Mion, a provoqué un immense scandale, une violente chasse aux sorcières aboutissant à la démission de ce dernier soupçonné d’avoir été informé de faits de pédophilie et de ne pas les avoir dénoncés. Puis, des accusations d’agressions sexuelles et de viol ont frappé de plein fouet les IEP de Strasbourg, Toulouse et de Bordeaux et gravement terni leur image. Désormais, la tempête souffle sur sciences po Grenoble: deux enseignants font l’objet d’un lynchage pour soupçons « d’islamophobie ». L’un d’eux est accusé (semble-t-il) par le tribunal idéologique d’avoir osé parler des racines chrétiennes de la France. Les sciences po ont cette caractéristique d’être les viviers des « élites » dirigeantes et influentes françaises (politiques, administratives, médiatiques, journalistiques). Autrefois, ils étaient un authentique foyer de formation intellectuelle grâce à un enseignement généraliste d’excellent niveau (droit public, économie, histoire). L’idéologie et la politique étaient présentes dans les halls et les cafétérias, mais nul ne touchait au contenu des enseignements, sanctuarisés. La liberté d’expression du professeur en était un pilier intangible. Désormais, les IEP tendent peu à peu à devenir les relais privilégiés de l’idéologie à la mode (indigénisme, décolonialisme, racialisme, islamisme, climatisme, genrisme, etc. ) Le fanatisme qu’ils ont eux-mêmes engendré se retourne contre eux avec une violence inouïe. Le fond du problème est le renoncement à ce qui a longtemps fait leur intérêt: l’excellence, le respect de la réflexion intellectuelle et de la pensée, la sélectivité et la récompense du travail et du mérite. La nature ayant horreur du vide, le fanatisme et la violence ont pris la place laissée vacante par l’intelligence. L’abandon du principe du concours reflète cette dérive. L’effondrement des sciences po, à commencer par celui de science po Paris, est emblématique de la tragédie des élites françaises (au sens sociologique du mot élite).

[Moi-même ai eu la chance, à une autre époque, de fréquenter les bancs de science po Bordeaux pendant 3 ans, puis sciences po Paris pendant deux ans en préparation ENA]

Maxime TANDONNET

Lire la suite sur le blog perso de Maxime Tandonnet ...

Author: Redaction

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Une étrange épidémie frappe les sciences po (IEP ou instituts d’études politiques) les uns après les autres. Tout à commencé avec le roi des sciences po, sciences po Paris, le plus prestigieux. L’affaire Olivier Duhamel, mettant en cause son directeur, M. Mion, a provoqué un immense scandale, une violente chasse aux sorcières aboutissant à la démission de ce dernier soupçonné d’avoir été informé de faits de pédophilie et de ne pas les avoir dénoncés. Puis, des accusations d’agressions sexuelles et de viol ont frappé de plein fouet les IEP de Strasbourg, Toulouse et de Bordeaux et gravement terni leur image. Désormais, la tempête souffle sur sciences po Grenoble: deux enseignants font l’objet d’un lynchage pour soupçons « d’islamophobie ». L’un d’eux est accusé (semble-t-il) par le tribunal idéologique d’avoir osé parler des racines chrétiennes de la France. Les sciences po ont cette caractéristique d’être les viviers des « élites » dirigeantes et influentes françaises (politiques, administratives, médiatiques, journalistiques). Autrefois, ils étaient un authentique foyer de formation intellectuelle grâce à un enseignement généraliste d’excellent niveau (droit public, économie, histoire). L’idéologie et la politique étaient présentes dans les halls et les cafétérias, mais nul ne touchait au contenu des enseignements, sanctuarisés. La liberté d’expression du professeur en était un pilier intangible. Désormais, les IEP tendent peu à peu à devenir les relais privilégiés de l’idéologie à la mode (indigénisme, décolonialisme, racialisme, islamisme, climatisme, genrisme, etc. ) Le fanatisme qu’ils ont eux-mêmes engendré se retourne contre eux avec une violence inouïe. Le fond du problème est le renoncement à ce qui a longtemps fait leur intérêt: l’excellence, le respect de la réflexion intellectuelle et de la pensée, la sélectivité et la récompense du travail et du mérite. La nature ayant horreur du vide, le fanatisme et la violence ont pris la place laissée vacante par l’intelligence. L’abandon du principe du concours reflète cette dérive. L’effondrement des sciences po, à commencer par celui de science po Paris, est emblématique de la tragédie des élites françaises (au sens sociologique du mot élite).

[Moi-même ai eu la chance, à une autre époque, de fréquenter les bancs de science po Bordeaux pendant 3 ans, puis sciences po Paris pendant deux ans en préparation ENA]

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Une étrange épidémie frappe les sciences po (IEP ou instituts d’études politiques) les uns après les autres. Tout à commencé avec le roi des sciences po, sciences po Paris, le plus prestigieux. L’affaire Olivier Duhamel, mettant en cause son directeur, M. Mion, a provoqué un immense scandale, une violente chasse aux sorcières aboutissant à la démission de ce dernier soupçonné d’avoir été informé de faits de pédophilie et de ne pas les avoir dénoncés. Puis, des accusations d’agressions sexuelles et de viol ont frappé de plein fouet les IEP de Strasbourg, Toulouse et de Bordeaux et gravement terni leur image. Désormais, la tempête souffle sur sciences po Grenoble: deux enseignants font l’objet d’un lynchage pour soupçons « d’islamophobie ». L’un d’eux est accusé (semble-t-il) par le tribunal idéologique d’avoir osé parler des racines chrétiennes de la France. Les sciences po ont cette caractéristique d’être les viviers des « élites » dirigeantes et influentes françaises (politiques, administratives, médiatiques, journalistiques). Autrefois, ils étaient un authentique foyer de formation intellectuelle grâce à un enseignement généraliste d’excellent niveau (droit public, économie, histoire). L’idéologie et la politique étaient présentes dans les halls et les cafétérias, mais nul ne touchait au contenu des enseignements, sanctuarisés. La liberté d’expression du professeur en était un pilier intangible. Désormais, les IEP tendent peu à peu à devenir les relais privilégiés de l’idéologie à la mode (indigénisme, décolonialisme, racialisme, islamisme, climatisme, genrisme, etc. ) Le fanatisme qu’ils ont eux-mêmes engendré se retourne contre eux avec une violence inouïe. Le fond du problème est le renoncement à ce qui a longtemps fait leur intérêt: l’excellence, le respect de la réflexion intellectuelle et de la pensée, la sélectivité et la récompense du travail et du mérite. La nature ayant horreur du vide, le fanatisme et la violence ont pris la place laissée vacante par l’intelligence. L’abandon du principe du concours reflète cette dérive. L’effondrement des sciences po, à commencer par celui de science po Paris, est emblématique de la tragédie des élites françaises (au sens sociologique du mot élite).

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