Jusqu’à quinze ans de prison. Ce devrait être la peine maximale encourue pour des faits de piraterie, au Ghana, selon un article de la presse ghanéenne relayé par le consultant en sécurité maritime Dryad Global. Le procureur général, le cabinet du ministre de la Justice et l’Autorité maritime du Ghana travaillent sur un nouveau projet de loi, avec le soutien de l’UNODC (Office des Nations Unies contre le drogue et le crime).