Les propriétés anti-tumorales de la protéine « Polyhomeotic » ont été identifiées par une équipe de l’Institut de génétique humaine de Montpellier (IGH, CNRS / Université de Montpellier 1 et 2). Dans une étude réalisée chez la drosophile, les chercheurs ont découvert que la dérégulation du gène codant pour cette protéine entraîne l’apparition de marqueurs tumoraux. De plus, les mécanismes de cette transformation cancéreuse impliquent des molécules également connues pour leur rôle dans certains cancers chez l’homme.
Deux articles paraissent le 13 septembre 2009 dans Nature Genetics.