Depuis quatre ans, trois fois par semaine, un navire assurait la liaison entre Montoir-de-Bretagne et Gijón, en Espagne. Une « autoroute de la mer », comme on l’appelait, qui s’était progressivement inscrite dans le paysage économique et générait un trafic satisfaisant, atteignant ses objectifs initiaux d’environ 100.000 pièces de fret transportées depuis son lancement, en septembre 2010 (voir notre article sur la fermeture de la ligne).