Pensée pour Denis Tillinac

Avec Denis Tillinac, c’est un grand Monsieur qui vient de nous quitter. Ecrivain, journaliste, chroniqueur, il avait cette caractéristique si rare de dire ce qu’il pensait sur tous les sujets sans crainte du qu’en-dira-t-on. Authentique Gaulliste (et non pas au sens des politiciens), catholique et fier de l’être, d’une incroyable simplicité, il donnait, dès le premier abord, ce sentiment étrange d’être un ami bienveillant que l’on avait toujours connu. Ses relations avec les personnalités politiques? Jamais une once de courtisanerie, il ne cherchait pas à plaire ni à faire plaisir mais à exprimer la vérité telle qu’il la concevait. Pour l’avoir croisé à plusieurs reprises lors de moments combinant la réflexion collective et les réjouissances matérielles, je me souviens de son humour, de sa gentillesse extrême, de l’intérêt qu’il manifestait pour autrui, de son goût de la bonne chère. Pour le combat des idées en faveur de la France, du redressement de son économie, de l’autorité de l’Etat et de la liberté d’expression, sa disparition inattendue – il n’avait que 74 ans – est une perte immense et une mauvaise nouvelle. Il faudra se montrer digne de lui.

Maxime TANDONNET

Lire la suite sur le blog perso de Maxime Tandonnet ...

Author: Redaction

Pensée pour Denis Tillinac

Avec Denis Tillinac, c’est un grand Monsieur qui vient de nous quitter. Ecrivain, journaliste, chroniqueur, il avait cette caractéristique si rare de dire ce qu’il pensait sur tous les sujets sans crainte du qu’en-dira-t-on. Authentique Gaulliste (et non pas au sens des politiciens), catholique et fier de l’être, d’une incroyable simplicité, il donnait, dès le premier abord, ce sentiment étrange d’être un ami bienveillant que l’on avait toujours connu. Ses relations avec les personnalités politiques? Jamais une once de courtisanerie, il ne cherchait pas à plaire ni à faire plaisir mais à exprimer la vérité telle qu’il la concevait. Pour l’avoir croisé à plusieurs reprises lors de moments combinant la réflexion collective et les réjouissances matérielles, je me souviens de son humour, de sa gentillesse extrême, de l’intérêt qu’il manifestait pour autrui, de son goût de la bonne chère. Pour le combat des idées en faveur de la France, du redressement de son économie, de l’autorité de l’Etat et de la liberté d’expression, sa disparition inattendue – il n’avait que 74 ans – est une perte immense et une mauvaise nouvelle. Il faudra se montrer digne de lui.

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