Pathologies et interactions sociales : se regrouper pour mieux lutter

Et si les comportements sociaux pouvaient influencer la progression des maladies, même non contagieuses ? C'est ce qu'ont mis en évidence des équipes françaises du CNRS, avec le soutien de l'IRD, de l'Université Paris-Sud, du CEA et de l'Université de Montpellier, ainsi que de collègues espagnols et australiens. En utilisant un modèle de cancer intestinal chez la mouche, leurs travaux montrent qu'outre l'impact négatif de l'isolement social sur la progression de la maladie, la composition du groupe dans lequel l'individu évolue joue également un rôle. Cette étude est publiée le 3 septembre 2018 dans la revue .

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Author: Redaction