L’épouvante

Aucun terme ne permet d’exprimer ce que l’on ressent face à l’abominable carnage de la promenade des Anglais à Nice, cette nuit de 14 juillet. 84 morts dont de nombreux enfants: le troisième massacre, sur le territoire français, en un an et demi, après ceux de janvier et novembre 2015. Le sentiment qu’on éprouve est indescriptible, celui d’un immense chagrin pour les victimes et leurs familles. Il n’est pas question de réagir en donneur de leçon mais en citoyen de ce pays, accablé, horrifié, épouvanté. Jusqu’où cela peut-il durer? Quand cette période atroce va-t-elle prendre fin? CnXe6DFWIAAEQkm (2)Aujourd’hui, un seul mot s’impose parmi les autres: celui des responsabilités.

Maxime TANDONNET

 


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Author: Redaction