La redistribution du vivant en réponse au réchauffement global : un tsunami silencieux non sans conséquences pour le genre humain

En réponse à l’augmentation globale des températures, la grande majorité des êtres vivants (animaux et végétaux), que ce soit sur terre ou dans les océans, migrent vers les pôles, les sommets des montagnes ou bien les profondeurs des océans.

Ce phénomène global, aujourd’hui reconnu comme un fait incontestable par l’ensemble de la communauté scientifique, est comme une lame de fond dont les impacts sur le fonctionnement des écosystèmes (dont fait partie l’Homme) et sur la dynamique propre du changement climatique restent largement méconnus.

Cette étude, issue d’une collaboration internationale menée par des scientifiques australiens de l’Institut des études marines et de l’Antarctique (IMAS, Tasmanie) et impliquant un chercheur du laboratoire EDYSAN (UPJV/CNRS), est publiée dans la prestigieuse revue .

Les résultats de cette collaboration unique entre 41 chercheurs issus de tous les continents (14 pays) et de toutes les disciplines du vivant (biologie marine, terrestre, animale et végétale) montrent comment l’Homme est déjà et sera encore affecté par cette lame de fond avec laquelle il faudra composer.

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Author: Redaction