Depuis l'apparition des organismes multi-cellulaires il y a 540 millions d'années, la vie sur Terre a été frappée par 5 grandes extinctions de masse. Moins populaire que l'extinction qui a marqué la fin du Crétacé et des dinosaures, l'extinction de la fin du Dévonien (- 360 millions d'années) a pourtant rayé de la surface de notre planète 75 % des espèces vivantes. Mais le mode opératoire de cette extinction reste mal connu. Une équipe sino-franco-australienne, impliquant des chercheurs du laboratoire Géosciences environnement Toulouse (GET CNRS / Université Toulouse III - Paul Sabatier / IRD / CNES) à l'Observatoire Midi-Pyrénées, vient de mettre en évidence la réorganisation à l'échelle globale des récifs carbonatés suite à la crise de la fin du Dévonien, événement dit « Hangenberg ». Ces résultats sont publiés dans .
Depuis l'apparition des organismes multi-cellulaires il y a 540 millions d'années, la vie sur Terre a été frappée par 5 grandes extinctions de masse. Moins populaire que l'extinction qui a marqué la fin du Crétacé et des dinosaures, l'extinction de la fin du Dévonien (- 360 millions d'années) a pourtant rayé de la surface de notre planète 75 % des espèces vivantes. Mais le mode opératoire de cette extinction reste mal connu. Une équipe sino-franco-australienne, impliquant des chercheurs du laboratoire Géosciences environnement Toulouse (GET CNRS / Université Toulouse III - Paul Sabatier / IRD / CNES) à l'Observatoire Midi-Pyrénées, vient de mettre en évidence la réorganisation à l'échelle globale des récifs carbonatés suite à la crise de la fin du Dévonien, événement dit « Hangenberg ». Ces résultats sont publiés dans .
Author: Redaction