Harcèlement de Mme Elisabeth Bik et Pubpeer

L’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection a été harcelé par Mme Bik, M. Barbour, M. Schneider à travers le site Pubpeer. Ce phénomène a été déclenché à partir du moment où nous avons parlé de l’Hydroxychloroquine qui semble les avoir excités. Nos demandes répétées auprès de Mme Bik pour savoir si elle avait reçu directement ou indirectement  de l’argent de l’industrie pharmaceutique et notamment de Gilead, qui commercialise le Remdesivir, sont restées sans réponse. En revanche,  elle a clairement demandé à un collaborateur d’être payée par l’IHU. L’analyse très précise des 246 articles pour lesquels elle nous reproche d’avoir fait « des fraudes »per met de conclure de manière très stricte à l’absence totale  de fraudes au sens de manipulation consciente des données afin de modifier le résultat dans le but de le rendre plus significatif, acte délibéré et qui présume donc d’un mobile.

70 % des reproches fait sur Pubpeer sur les articles de l’IHU concernent une potentielle absence ou une erreur de numérotation de Comité de Protection des Personnes, nous sommes donc dans le domaine de l’éthique. En pratique les règles d’éthique sont régulées par la déclaration d’Helsinki et des lois nationales. Dans ces conditions, l’obtention de déchets anonymisés comme les matières fécales ou  la collection de poux sur des vêtements  avec pour finalité une analyse microbienne ne nécessite pas dans la loi française  l’avis de comité d’éthique ou la demande de CPP, nous avions posé la question au comité d’éthique du CNRS. C’est le cas aussi pour les prélèvements issus de protocoles de soins dont l’utilisation des « fonds de tubes » anonymisés à des fins de recherche est autorisée, nous avons eu là aussi la confirmation écrite des autorités compétentes. Enfin les missions de l’IHU autour du CNR des Rickettsia, Coxiella et Bartonella, ou bien autour des pèlerins, ou des sans-abris sont parfaitement encadrées d’un point de vue éthique. Cela signifie que déjà 70 % des demandes de Pubpeer sont totalement illicites. Par ailleurs, Mme Bik a été très irritée par le fait que nous soyons surpris de l’absence de déclaration de conflits d’intérêts avec Gilead ou l’industrie pharmaceutique la concernant au moment de la mise en place du Remdesivir et l’Hydroxychloroquine. D’une manière intéressante, Pubpeer refusait d’intégrer cette anomalie pour le principal investigateur en France  des essais  thérapeutiques avec le Remdesivir – ce qui a été rectifié ultérieurement  du fait de la publication d’un erratum de celui-ci. Concernant nos conflits d’intérêts ceux-ci sont complètement absurdes car nous n’avons pas de relation avec l’industrie pharmaceutique. Les seuls conflits d’intérêts que Mme Bik croit avoir détectés sont des liens avec des Start-up qui ont été créées à l’intérieur de l’IHU Méditerranée Infection, ce qui est une mission officielle de tous les IHU en France. Quand ces start-up avaient des produits, qui pouvaient être en relation avec l’article ceci a été  déclaré. En revanche pour une dizaine de publications, Mme. E Bik et la sphère anonyme des utilisateurs Pubpeer estiment que le fait de faire la classification des poux avait un rapport avec le traitement proposé par l’Ivermectine ce qui signifie par exemple, qu’on ne pourrait pas  faire d’analyse génétique chez les hommes si on avait un lien avec une industrie thérapeutique déconnectée de la génétique. Dans 9% des cas les commentaires du site Pubpeer prétendent qu’il y a des duplications. Manifestement les outils que Mme E. Bik utilise sont de mauvaises qualités ou alors très subjectifs car nous avons pu montrer qu’il n’y avait pas de duplications dans la grande majorité des cas. Les  quatre négligences de duplication que nous ayons remarquées n’ont pas modifié  le résultat de la publication, et ont déjà ou sont en cours de correction par via des erratum. Parmi les autres commentaires, il y a essentiellement un acharnement a essayé de démontrer que l’Hydroxychloroquine ne fonctionnait pas sur le plan méthodologique et des commentaires sur la taxonomie qui témoignent plus l’opinion de quelqu’un qui est jaloux en microbiologie (ceci l’irrite beaucoup que les bactéries soient nommé massiliensis ou timonensis). Sur la taxonomie, les rares négligences sur un genre nouveau ou sur un numéro de souche – quatre articles – sont en cours de modification par erratum, il s’agissait d’ailleurs de commentaires précédant l’acharnement mis en place par Mme E. Bik et sa sphère d’influence (plus de 200 articles commentés entre Avril et Mai 2021). Par ailleurs, Mme Bik avait mis dans 22 commentaires que notre recherche était de la science néocolonialiste ce qui est profondément insultant au regard de l’histoire de l’IHU Méditerranée Infection avec les pays du Sud, et pour les 1000 étudiants étrangers qui sont venus se former à l’IHU à l’IHU Méditerranée Infection. On voit aussi qu’il s’agit d’un harcèlement en bande car les mêmes reproches ont été copié et collé dans 60% des différentes publications. Nous avons réalisé une analyse exhaustive de tous ces commentaires, que nous n’enverrons pas à Pubpeer qui manifestement est une institution profondément malhonnête contre qui nous portons plainte aussi après avoir porté plainte contre Mme Elisabeth Bik, contre M. Boris Barbour qui l’a relayé en France, nous portons plainte aussi contre M. Leonid Schneider qui a déjà été condamné pour diffamation en Allemagne.

Relais de brève

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Author: Redaction