Dominique Méreuze, président de la Fédération française d'ULM (FFPLUM) est décédé cette nuit, victime d'un cancer contre lequel il a lutté avec un courage et une dignité exemplaire ces dernières années.
Pionnier du vol libre dans les années 80, il a présidé la Fédération française d'ULM pendant 17 ans, jusqu'à son décès, la nuit dernière. L'été dernier, il disait encore être fier de « ses perpétuels combats, avec un certain succès, pour conserver à l'ULM sa philosophie basée sur « la Liberté et la Responsabilité » et pour la pérennité du système « déclaratif », unique et original en aviation à travers le monde… qui fait « à priori » confiance à l'homme… ce qui est devenu bien rare dans nos sociétés contemporaines ».
Il a su porter ces messages auprès de l'Europe, en assurant la présidence de la Fédération Européenne des Ultralégers, et en convaincant les institutions européennes de préserver cet espace de liberté et de confiance des ULM.
Loin de tout sectarisme il a aussi été un artisan essentiel de la création et de l'animation du Conseil National des Fédérations Aéronautiques et Sportives, dont il était le délégué général, et dont il a contribué fait un organe de coordination efficace, et l'un de nos interlocuteurs privilégiés. Les discussions avec lui ont toujours été franches, marquées par le souci de progresser, sans concession sur ses convictions.
Il laisse le souvenir d'un aviateur passionné, d'un homme engagé d'une intégrité sans faille et d'une très grande chaleur humaine. Sa disparition va laisser un grand vide autour de la table des négociations. Une absence encore plus grande dans le cœur de ceux qui ont eu la chance de le connaître et de partager avec lui ses combats.
Pionnier du vol libre dans les années 80, il a présidé la Fédération française d'ULM pendant 17 ans, jusqu'à son décès, la nuit dernière. L'été dernier, il disait encore être fier de « ses perpétuels combats, avec un certain succès, pour conserver à l'ULM sa philosophie basée sur « la Liberté et la Responsabilité » et pour la pérennité du système « déclaratif », unique et original en aviation à travers le monde… qui fait « à priori » confiance à l'homme… ce qui est devenu bien rare dans nos sociétés contemporaines ».
Il a su porter ces messages auprès de l'Europe, en assurant la présidence de la Fédération Européenne des Ultralégers, et en convaincant les institutions européennes de préserver cet espace de liberté et de confiance des ULM.
Loin de tout sectarisme il a aussi été un artisan essentiel de la création et de l'animation du Conseil National des Fédérations Aéronautiques et Sportives, dont il était le délégué général, et dont il a contribué fait un organe de coordination efficace, et l'un de nos interlocuteurs privilégiés. Les discussions avec lui ont toujours été franches, marquées par le souci de progresser, sans concession sur ses convictions.
Il laisse le souvenir d'un aviateur passionné, d'un homme engagé d'une intégrité sans faille et d'une très grande chaleur humaine. Sa disparition va laisser un grand vide autour de la table des négociations. Une absence encore plus grande dans le cœur de ceux qui ont eu la chance de le connaître et de partager avec lui ses combats.
Maxime COFFIN
chef de la mission aviation légère, générale et hélicoptères
de la DGAC
chef de la mission aviation légère, générale et hélicoptères
de la DGAC
☛ Lire la suite sur le site du Ministère du Développement Durable, peut-être non effacé ...
