Cancer du sein: identification d’un interrupteur moléculaire qui contrôle les cellules souches cancéreuses

Certaines cellules cancéreuses sont résistantes au traitement et persistent. Si elles ont la capacité de proliférer à nouveau, même un très petit nombre de ces cellules peut suffire à reconstituer une tumeur après ou malgré le traitement. Pour éliminer ces « cellules souches cancéreuses » (CSC), différentes approches ont été tentées au cours des dernières années : thérapies ciblées, vaccination, privation d'alimentation des tumeurs. Dans un article paru dans la revue , Christophe Ginestier, chargé de recherche Inserm au Centre de recherche en cancérologie de Marseille (Aix-Marseille Université/CNRS/Institut Paoli-Calmettes), et ses collaborateurs, identifient qu'une molécule d'ARN particulier joue le rôle d'interrupteur moléculaire capable « d'éteindre » ou « d'allumer » la prolifération des CSC dans les cancers du sein.

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Author: Redaction