Auteur/autrice : Redaction
Qui est Philippe Dailliez, le futur président de Picard Surgelés ?
Le 1er octobre, l’actuel président de l’enseigne de surgelés Picard Philippe Pauze partira à la retraite et cèdera sa place à Philippe Dailliez. Un dirigeant au profil de financier et développeur,…
Le drone français n’est plus dans le vent
Malgré l’annonce de la SNCF de s’équiper d’une flotte d’ici la fin de l’année, la filière française du drone civil ne connaît pas le dynamisme espéré. Au risque d’être dépassée par d’autres pays…
Le fier cocorico a perdu de sa superbe et laisse place à un gazouillis maigrelet teinté d’amertume. En moins de trois ans, la filière française du drone civil, pourtant […]
Traitements du cancer : Roche se frotte à la compétition
Numéro un mondial des traitements contre le cancer, le laboratoire suisse Roche veut mettre les bouchées doubles face à une concurrence exacerbée. Et innover pour négocier le prix de ses médicaments comp…
Séminaire intergouvernemental franco-palestinien
Visite officielle en France de S. Exc. M. Rami Hamdallah, Premier ministre des Territoires palestiniens
Séminaire intergouvernemental franco-palestinien à Matignon
Jeudi 10 septembre 2015
12h30 : Arrivée de S. Exc. M. Rami Hamdallah, Premier ministre des Territoires palestiniens (Cour d’honneur de l’Hôtel de Matignon)Toute presse accréditée
12h40 : Entretien de Manuel Valls, Premier ministre, avec S. Exc. M. Rami Hamdallah, Premier ministre des Territoires palestiniensTour d’images poolé
13h00 : Arrivée des ministres (Cour de l’Hôtel de Matignon)Toute presse accréditée
13h20 : Déjeuner de travail en l’honneur de S. Exc. M. Rami Hadmallah et sa délégationHors presse
14h30 : Cérémonie de signatures des accordsPool TV + photographes
14h40 : Point presse conjointPool TV + rédacteurs
Informations pratiques :
Si vous souhaitez participer à cet événement, merci de vous accréditer à l’adresse communication@pm.gouv avant mercredi 9 septembre 20 h 00
La cour de l’Hôtel de Matignon sera ouverte à partir de 11 h 30.
Contacts :
01 42 75 50 78/79 01 42 75 80 15communication@pm.gouvNote aux rédactions du 9 septembre 2015, Séminaire intergouvernemental franco-palestinien
Airbus Helicopters signe un accord pour 100 appareils en Chine
Airbus Helicopters a annoncé mercredi la signature d’un accord préliminaire pour la vente de 100 hélicoptères de la gamme Ecureuil H125 et H130 à la société chinoise de crédit-bail Minsheng International Financial Leasing Corp (CMIFL). Les hélicoptères seront livrés sur les cinq prochaines années, avec un première livraison de 10 appareils en 2016, précise dans un communiqué la […]
Bombardier a décliné une offre chinoise pour ses activités ferroviaires
Le groupe industriel canadien Bombardier a rejeté une offre chinoise d’achat de ses activités ferroviaires. La société publique Beijing Infrastucture Investment (BII), opératrice de 18 lignes de métro à Pékin, se proposait de racheter 60 à 100% de Bombardier Transport.
Innovia Monorail 300 de Bombardier (Photo prise le 25 septembre 20214/REUTERS/Thomas Peter)
Inauguration du salon « Révélations », Biennale internationale des métiers d’art et de la création
Manuel Valls, Premier ministre, inaugurera le salon « Révélations », Biennale internationale des métiers d’art et de la création, au Grand Palaisle mercredi 9 septembre 2015
Déroulé prévisionnel :
18h50 :
- Arrivée de Manuel Valls, Premier ministre (Grand Palais 3, avenue du Général Eisenhower 75008 Paris)
- Accueil par Son Excellence, Mo Chul-min, ambassadeur de la République de Corée en France, Jean-Paul Cluzel, président de la RMN-Grand Palais, Serge Nicole, président du salon, et Henri Jobbe Duval, commissaire général du salonToute presse accréditée
- Visite de l’expositionPool presse uniquement
- Allocution de M. le Premier ministreToute presse accréditée
Si vous souhaitez participer à ce déplacement, merci de vous accréditer à l’adresse communication@pm.gouv avant mercredi 9 septembre 2015 à 15 h 00.
La composition du pool sera transmise ultérieurement.
Contacts :
01 42 75 50 78/79 01 42 75 80 15communication@pm.gouvNote aux rédactions du 9 septembre 2015, Inauguration du salon « Révélations »
Google teste la livraison de produits frais à domicile
Le directeur général de Google Express a dévoilé à Bloomberg Business, le 8 septembre 2015, qu’un service de livraison de nourriture serait testé dans deux villes américaines avant la fin de l&rs…
Les chantiers de Showroom Privé pour doper sa croissance
Le site Showroom Privé vient d’annoncer son entrée en bourse d’ici la fin de l’année. Le destockeur souhaite ainsi acquérir 50 millions d’euros d’actions nouvelles dans le but de financer ses…
Lait : les enseignes face aux menaces de… déréférencement sous la pression des producteurs
Des producteurs laitiers ont demandé à des enseignes comme Système U de déréférencer les entreprises laitières qui ne soutiennent pas les cours du lait. Lactalis, Bel, Danone, Savencia-Bongrain sont vi…
Rapport « La négociation collective, le travail et l’emploi » de Jean-Denis Combrexelle
Ce rapport a été élaboré sous la responsabilité de son auteur. Ses conclusions n’engagent pas le Gouvernement. Elles alimentent sa réflexion.Lire la synthèse du rapport
Rapport « La négociation collective, le travail et l’emploi » de Jean-Denis Combrexelle
L’Opep fait un pas en arrière
Le cartel pétrolier a réduit sa production en août pour la première fois depuis février, d’après les informations réunies par les analystes du Platts. Si cette tendance se confirme, elle devrait soulager le marché mondial en surproduction et soutenir un peu les cours du brut.
En Arabie saoudite, sur les rives du golfe Persique, Total construit sa plus grosse unité de […]
La production colombienne de café confirme sa reprise
Le programme de replantation initié en 2008 par les producteurs colombiens de café continue de porter ses fruits, avec de nouvelles hausses de la production et des exportations.
En août 2015, la production colombienne de c…
Inauguration de la Biennale internationale des métiers d’art et de la création
Madame la ministre, chère Martine Pinville,
Monsieur l’ambassadeur de Corée du Sud,
Mesdames, Messieurs, les ambassadeurs,
Monsieur le sénateur,
Monsieur le président, Jean-Paul Cluzel, merci de nous accueillir encore dans cet endroit magnifique,
Monsieur le président du salon, Serge Nicole,
Monsieur le commissaire général, cher Henri Jobbe-Duval,
Mesdames, Messieurs,
Le monde de la culture s’enrichit, et il faut s’en féliciter, d’une nouvelle biennale, une biennale internationale des métiers d’art contemporains. Sa première édition, vous nous le rappeliez, il y a 2 ans, était, disons, un très beau coup d’envoi, avec tout de même 35 000 visiteurs en 5 jours ! Et cette deuxième édition l’inscrit pleinement dans le paysage artistique mondial. C’est pour Paris, pour la France, pour notre savoir-faire – la ministre de la Culture, en ce moment même à la biennale de Lyon, le dirait aussi bien que moi –, un honneur que d’en être l’hôte.
Malgré tous les ambassadeurs présents, et qu’ils m’excusent, j’oserais presque dire : quoi de plus logique que ce choix de la France ? Quelle plus belle vitrine, en effet, que ce Grand Palais, prouesse technique et architecturale, pour héberger les 350 exposants, artistes, artisans d’art, venus du monde entier ? Nous avons été, avec Martine Pinville, frappés par la qualité, la diversité, l’enthousiasme, des artistes et des stands.
Quinze pays ont fait le choix du Salon Révélations. La Corée du Sud est cette année l’invitée d’honneur, et je m’en réjouis, tant les liens culturels entre nos deux pays, Monsieur l’ambassadeur – et le pavillon de la Corée du Sud est magnifique – sont nombreux et riches. Nous aurons l’occasion d’en reparler bientôt, avec la visite de votre Premier ministre ici, en France, et celle de notre président de la République bientôt en Corée du Sud.
Cette biennale est donc un beau moment de culture, et la visite que nous venons de réaliser nous a permis de voir l’excellence dans nombre de disciplines, ébénisterie, ferronnerie, bijouterie, joaillerie, cuir, maroquinerie, plumasserie, et tant d’autres métiers magnifiques et délicats. Certains, je les connaissais ; d’autres, je dois l’avouer, je viens de les découvrir.
Ce salon est l’occasion de découvrir ces ouvrages qui ont recours à des méthodes traditionnelles ayant traversé les siècles. Il permet de saisir la diversité qui caractérise les métiers d’art, diversité des techniques, des matériaux utilisés, ancestraux pour certains, mais toujours innovants. Diversité, enfin, des objets réalisés. Tous ces ouvrages portent l’empreinte de leur créateur, ou de l’atelier dont ils sont issus. Je veux à ce titre, mesdames, messieurs les exposants, saluer votre talent, votre goût de la perfection, la noblesse de vos gestes, qui permettent de maintenir vos disciplines au meilleur niveau. Vous êtes les détenteurs d’un capital inestimable de savoir-faire complexes, fait d’heures et d’heures de travail. Derrière l’objet se cachent des jours et des nuits d’attention à la matière, pour la changer, pour la transcender.
Les métiers d’art sont, oui, des métiers qui ont un pied dans le classique, et un pied dans le contemporain. C’est ce qui en fait, je crois, et nous l’avons vu également, le côté merveilleux. Vous tous êtes des créateurs, mais aussi des entrepreneurs, des artisans – madame la ministre – et des artistes. C’est une source légitime de fierté, cela se voyait sur les visages, et de dynamisme.
Les métiers d’art constituent un secteur énergique, avec un grand nombre de très petites entreprises, environ 38 000, à très forte valeur ajoutée. Ils contribuent fortement au rayonnement de la France à l’étranger – nous l’avons vu pour ce qui concerne le cuir, la maroquinerie, avec un solde positif de 2 milliards –, depuis la rénovation de notre patrimoine historique, qui attire toujours plus de touristes, jusqu’au secteur de luxe et de la mode, qui est l’un, vous le savez, de nos principaux atouts à l’exportation.
Ils sont une richesse dont nous devons faire la promotion. Et je sais combien l’action de l’Institut national des métiers d’art, présidé par Gérard Desquand, est précieuse pour veiller au développement et à la structuration du secteur.
Un secteur dont la contribution à l’économie locale suit un modèle vertueux : utilisation, souvent, de matériaux locaux, fabrication dans le respect des règles de l’art, transmission des savoir-faire aux jeunes générations pour en assurer la sauvegarde. C’est un modèle entrepreneurial, profondément humaniste, qui se fonde sur des principes et des valeurs : indépendance, liberté, exigence, persévérance et humilité.
Faire la promotion des métiers d’art, c’est aussi, pour l’Etat, s’impliquer de manière très concrète. Le ministère de la Culture et ses établissements publics sont ainsi les premiers employeurs des métiers d’art, avec 1 200 agents dans ces filières. Elles regroupent une soixantaine de spécialités, dans les ateliers de création – Manufactures nationales des Gobelins, Beauvais, Savonnerie et Sèvres – et de restauration – vous le savez : Louvre et Archives nationales.
Des engagements ont été pris ces dernières années pour maintenir et faire évoluer cette filière en lien avec la valorisation du patrimoine monumental et immatériel. La dentelle d’Alençon est ainsi désormais inscrite au patrimoine de l’UNESCO.
Il s’agit d’améliorer également la formation et l’accueil des apprentis dans les manufactures nationales.
Faire la promotion des métiers d’art, c’est enfin prendre les mesures législatives adaptées. La loi du 18 juin 2014, vous l’évoquiez, relative à l’artisanat, au commerce et aux très petites entreprises, dite loi Pinel, a marqué une grande avancée. Elle a reconnu l’importance de ces secteurs dans l’économie française, mais plus encore, elle a sécurisé les savoir-faire et les qualifications. Le trait commun de toutes ces professions, c’est la maîtrise du geste, de la technique. C’est cette définition que la loi a inscrit dans notre droit, et il était temps.
Les professionnels des métiers d’art bénéficient par ailleurs, et Martine Pinville y veille, des actions engagées par le gouvernement en faveur de l’artisanat et des TPE. L’action du gouvernement, je veux le rappeler, c’est 1 milliard d’euros de baisse des charges dans le cadre du Pacte de responsabilité et de solidarité pour ce secteur – un montant qui vient s’ajouter aux baisses de cotisations prévues par la loi Pinel et aux allégements de cotisations patronales prévus également dans le cadre du Pacte, qui bénéficieront aux artisans, comme aux commerçants. C’est aussi l’exonération de la C3S pour les plus petites entreprises, et demain pour les autres.
L’action du gouvernement, c’est aussi la simplification des procédures de création d’entreprise et des conditions d’embauche et de formation des apprentis et des salariés, l’utilisation du Titre emploi service entreprise pour les PME de moins de 20 salariés. C’est 4 000 euros de prime pour embaucher un premier salarié et aider les entreprises individuelles – qui sont si nombreuses, dans les métiers d’art – à franchir le pas du premier recrutement.
Enfin, nous avons agi pour faire reconnaître et protéger nos indications géographiques pour des produits artisanaux, afin de valoriser ceux qui les produisent et de porter l’excellence des terroirs et des territoires.
Je sais que beaucoup reste à faire pour consolider vos secteurs. Vos compétences sont rares, il faut en assurer la transmission, motiver et former celles et ceux qui prendront votre suite, se réapproprieront vos savoir-faire.
Sachez que le gouvernement est à vos côtés. Car nous savons combien vous êtes un des pans essentiels de la fierté de la France. C’est pour cela que nous devons mettre en œuvre, concrètement, la loi – vous l’évoquiez. Les décrets, dès que quelques arbitrages auront été rendus, sortiront pour son application. Vous l’attendez avec impatience… et vous avez raison !
Monsieur le Président, cher Serge Nicole, encore bravo pour cette belle initiative … qui, elle, n’a rien d’artisanal ! Mais qui donne à l’art, aux métiers d’art, toute leur place.
La culture, avec toute sa diversité, occupe une place essentielle dans l’identité de notre pays. Nous le savons et nous le verrons bien encore dans quelques semaines, ici-même, avec la FIAC. Et d’ailleurs, il y a parfois, parmi vos exposants, des artistes qui participent ou qui ont participé à la FIAC. Nous pouvons être fiers de notre patrimoine culturel, mais n’oublions jamais que la culture, c’est aussi une des forces de notre économie.
Je vous souhaite, et je n’ai aucun doute là-dessus, encore plus de visiteurs que l’an dernier. Toute l’énergie présente ici, tous les talents venus du monde entier, tous ces artistes sont d’incomparables atouts pour cela.
Bonne biennale à tous, et merci de votre accueil !Discours du 9 septembre 2015, Inauguration de la Biennale internationale des métiers d’art et de la création
Amazon veut lancer une tablette à moins de 50 euros
Le site d’e-commerce serait sur le point de lancer une tablette à moins de 50 euros pour les Fêtes de fin d’année, selon le Wall Street Journal. Avec un écran de 6 pouces, l’appareil coûterait deux f…
L’industrie c’est fou : le plus long crayon du monde est allemand
Il y a des records qui marquent l’histoire… et les autres ! Staedtler, fabricant allemand de produits dédiés à l’écriture, le coloriage et le marquage, a fait son entrée cet été dans le prestigieux Guiness Book. Son exploit ? Avoir réalisé le plus long crayon de couleur du monde : 459,97 mètres ! Il s’agit d’une version géante d’un de ses modèles commercialisés et 130 employés de […]
Picard: départ de Philippe Pauze, PDG depuis 2009
Lors de la réunion du Conseil de Surveillance de Picard Surgelés du 21 septembre prochain, Philippe Pauze rendra officielle sa décision de départ à la retraite à compter du 1er octobre 2015. Le Conseil de Sur…
Le droit du travail, Fessenheim, incendie au décollage, le French bashing… la revue de presse de l’industrie
Remise du rapport sur le travail
« Droit du travail : Valls sonne la révolution », titre ce matin Le Point. Le Premier ministre se voit remettre ce mercredi, « un rapport très attendu sur l’assouplissement du droit du travail qu’il a commandé au mois d’avril ».
Le Monde a publié hier soir sur son site une version « quasi définitive » de ce document. Le texte préconise […]
Toyota dévoile la quatrième génération de sa Prius
Et de quatre pour l’hybride star de Toyota ! Le constructeur japonais a dévoilé ce mercredi 9 septembre la dernière génération de sa Prius qui sera visible au salon de Francfort. Au-delà d’un design légèrement revu, ce nouveau modèle se veut surtout plus performant. « Emmenée par un groupe motopropulseur Full Hybrid Toyota de nouvelle génération, la Prius IV consomme sensiblement […]
Planètes : les « Jupiters chauds » se seraient formés très rapidement
Vingt ans après leur découverte, les « Jupiters chauds », ces planètes géantes gazeuses tournant de façon très rapprochée autour de leur étoile, restent encore des objets énigmatiques. En utilisant le spectro-polarimètre ESPaDOnS du Télescope Canada-France-Hawaii, une équipe internationale d’astrophysiciens menée par Jean-François Donati (CNRS) vient de montrer que ces corps pourraient ne mettre que quelques millions d’années à se rapprocher de leur étoile tout juste formée. Cette découverte devrait nous aider à mieux comprendre comment les systèmes planétaires, similaires ou différents de notre système solaire, se forment et évoluent au cours de leur existence. Elle est publiée le 9 septembre 2015 dans (MNRAS) et en accès libre sur le site ArXiv.
Le CNRS fête le patrimoine
A l’occasion des Journées européennes du patrimoine 2015, les 19 et 20 septembre prochains, le CNRS vous invite à explorer la notion de « patrimonialisation » au travers d’une gigantesque fresque à la gare Montparnasse, à Paris, en partenariat avec la RATP. Comment les traces du passé acquièrent-t-elles le statut d’objet du patrimoine ? Quelle est la place de la science dans ce processus ? CNRS le journal répondra de son côté à ces questions via un blog collaboratif, dédié au patrimoine scientifique. Le CNRS invite également à venir découvrir, partout en France, les coulisses de la recherche : observatoires astronomiques, sites de fouilles et collections scientifiques ouvriront exceptionnellement et gratuitement leurs portes au public.
Manuel Valls présidera l’instance de Dialogue entre l’État et avec l’Eglise catholique
Manuel Valls, Premier ministre,
présidera l’Instance de Dialogue entre l’Etat et l’Eglise catholique,
à l’Hôtel de Matignon,
Mercredi 9 septembre 2015 à 15h15,
En présence de Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, et Harlem Désir, Secrétaire d’État aux Affaires européennes.L’instance de dialogue se réunit pour la onzième fois depuis sa création. Cette réunion permettra de dresser un état des lieux des sujets prioritaires, notamment la question de la formation des aumôniers, de la laïcité, et aussi des réfugiés.
La cour de l’Hôtel de Matignon sera ouverte dès 14h45 aux journalistes accrédités à l’adresse communication@pm.gouv avant mercredi 9 septembre, 12h00.Accès sur accréditation et présentation de la carte de presse 2015.
Un tour d’images sera organisé.
01 42 75 50 78/79 01 42 75 80 15 communication@pm.gouvManuel Valls présidera l’instance de Dialogue entre l’État et avec l’Eglise catholique
Ségolène Royal publie demain quatre projets de décrets et ordonnances en application de la loi de transition énergétique pour la croissance verte
Ségolène Royal lance demain plusieurs consultations sur les textes d’application de la loi de transition énergétique. 1) Réseaux électriques Mise en œuvre de l’article 153 – Le projet de décret instituant le comité de la distribution publique d’électricité a été soumis à l’avis du Conseil supérieur de l’Énergie, avant saisine du Conseil d’État. Ce comité est chargé de donner son avis sur la politique d’investissement sur les réseaux d’ERDF et des autorités organisatrices de la distribution d’électricité (…)
Discours lors de la cérémonie des vœux du Consistoire à la Synagogue Nazareth
Monsieur le président de l’Assemblée nationale,
Monsieur le ministre de l’Intérieur,
Mesdames, messieurs les ministres,
Madame l’ambassadrice,
Mesdames, messieurs les parlementaires,
Monsieur le maire du 3ème arrondissement,
Mesdames, messieurs les élus,
Monsieur le président du consistoire central,
Monsieur le grand rabbin de France,
Monsieur le grand rabbin de Paris,
Messieurs les présidents du consistoire et messieurs les rabbins,
Mesdames et messieurs,
Dans quelques jours, les Juifs de France et du monde entier entreront dans la nouvelle année. C’est un moment important, un temps de recueillement, de réconciliation avec soi. C’est aussi une grande fête de partage et de joie.
Aussi, à tous les Français juifs, je veux adresser au nom du gouvernement un chaleureux et républicain : « Shana Tova »! Que l’année à venir soit plus encore – et nous en sentons tous le besoin, au-delà de nos convictions – marquée par la concorde et la solidarité. Qu’elle apporte également à notre pays cette force collective, qui elle seule peut assoir notre détermination et dissiper les peurs.
Car les peurs sont là. Comment les nier ? Comment ne pas les entendre ? Comment ne pas le comprendre ?
Les Juifs de France sont traversés par les doutes – et le mot est faible. Ils se demandent si ce pays, la France, qu’ils aiment plus que tout, le pays de leurs aïeux, est encore leur pays, s’il est encore celui qui verra grandir et s’épanouir leurs enfants. Cette interrogation est un déchirement pour vous, pour nous, pour moi. Je veux y répondre une fois encore et de la manière la plus forte. Je sais, les mots ne suffisent pas, mais je le dis et je le redirai, car pour beaucoup d’entre nous, c’est le combat d’une vie : sans les Français juifs, la France perdrait une part essentielle d’elle-même !
Les Juifs de France, depuis des siècles et des siècles, ont contribué à faire de la France ce qu’elle est aujourd’hui. Le judaïsme est enraciné au plus profond de la terre, au plus profond de l’âme de notre pays et rien, personne – ayons cette conviction, partageons la –, jamais ne pourra l’y ôter. C’est pour cela, vous avez eu raison de le rappeler, cher Joël Mergui, que nos policiers, nos gendarmes, nos soldats, portant sur eux notre drapeau, sont déployés en nombre devant les écoles et les institutions juives, les synagogues. Ils protègent, ils font rempart. Avec force, ils affirment en notre nom à tous, que s’en prendre aux Juifs de France, c’est s’en prendre à chacun d’entre nous. Et ils affirment que la France met tout en œuvre pour protéger ses enfants.
Avec vous, à mon tour, je veux saluer ces femmes, ces hommes en uniforme ou en civil qui sont engagés pour protéger les Juifs de France, pour protéger tous les Français et lutter partout sur le territoire contre la menace terroriste.
Oui, mes chers compatriotes, la République, le gouvernement, sont là à vos côtés. Nous ne pouvons tolérer aucune parole, aucun geste, aucun acte qui viendrait contester ce droit inaltérable qu’ont tous les citoyens de croire ou de ne pas croire ; qu’ont les Juifs, les Catholiques, les Musulmans, les Protestants, tous les fidèles, de croire et de pratiquer librement, sereinement. Car c’est cela, la laïcité. C’est cela qui fait la France, sa richesse, et c’est pour cela qu’elle continue de briller dans le monde et qu’elle reste une référence.
Aujourd’hui, le combat est à reprendre. La France doit avoir plus conscience de ce que l’on ne doit jamais oublier.
Car, soyons lucides, nous avons oublié.
Nous avons oublié qu’après Dreryfus, dont le combat, celui des grands Républicains, a façonné la France telle que nous l’aimons ; nous avons oublié qu’après les lois scélérates de Vichy, le Vel’d’Hiv’, il fallait continuer de s’indigner et de combattre. Nous avons oublié qu’après les attentats de la rue Copernic, de la rue des Rosiers, qu’après Carpentras et Ilan HALIMI, il ne fallait jamais baisser la garde.
La France a fait comme si tout cela était derrière nous, comme si l’antisémitisme n’était qu’un mauvais souvenir, comme si l’on pouvait en rire dans des spectacles infâmes. Nous avons fait comme si l’antisémitisme ne nous concernait plus. Pire, comme s’il n’était que le seul problème des Juifs. Quelle erreur ! Quelle faute !
Et puis, il y a eu les crimes de Toulouse et de Montauban qui ont marqué les consciences. Mais pas encore suffisamment. Je l’ai dit à plusieurs reprises : nous n’étions pas assez nombreux, ce soir-là, place de la République. Et puis, il y a eu les cris dans Paris, notre capitale, les cris de « mort aux Juifs », et puis il y a eu Créteil, et puis il y a eu Vincennes. Cataclysme après cataclysme. Cette synagogue, comme toutes les synagogues de France, a alors, à nouveau, porté le deuil. Le plus lourd qui soit.
Monsieur le président du consistoire,
Messieurs les grands rabbins,
Cette synagogue Nazareth n’est pas une synagogue comme les autres. Elle est pour la communauté juive de Paris et de France un symbole. Depuis deux siècles, ici, au cœur du vieux Paris, les Juifs peuvent exercer librement leur culte. Cette synagogue fut aussi, pendant quelques années, le lieu où officiait le grand rabbin de France, le siège d’un consistoire encore jeune. Cette synagogue si belle, c’est le symbole de la liberté et de l’émancipation. C’est un symbole de foi en l’avenir. C’est aussi le symbole de ce que nous partageons tous : des valeurs, un destin, une espérance. Et pour les Juifs de France, c’est un des symboles de ces liens indéfectibles qui les unissent à la République.
Ce sont ces liens, ces valeurs, ce destin commun, cette espérance que nous étions venus défendre ici même, un soir terrible de mars 2012, avec le Président de la République d’alors, Nicolas Sarkozy, et avec celui qui allait lui succéder, François Hollande.
Trois ans plus tard, à deux pas d’ici, alors qu’on avait tué une nouvelle fois des Juifs parce qu’ils étaient Juifs, tué des policiers, symboles de l’ordre républicain, des journalistes et des dessinateurs, symbole de la liberté d’expression, nous étions dans la rue. Des millions, à Paris et dans toute la France.
Ce 11 janvier, comme la veille au soir, porte de Vincennes, devant l’hyper casher – nous y étions, avec Claude Bartolone, Bernard Cazeneuve et beaucoup d’entre vous –, il y a eu les mots pour condamner. Les Juifs de France doutaient, criaient leur peur, leur indignation. Les mots que nous avons dû trouver pour nous retrouver, pour nous rassembler, je ne les oublierai pas. J’ai dit que la place des Juifs de France était ici. Bien sûr, je connais ceux qui veulent partir en Israël, personne ne peut les condamner. Mais leur place est ici.
Il y a eu beaucoup de mots depuis. Les mots de compassion, ils étaient attendus. Il y a eu les mots pour défendre la laïcité, la tolérance, pour refuser tous les amalgames, ces mots étaient partagés.
Il y a eu enfin les mots pour qualifier, pointer les failles, les fractures, pour faire ce constat que quelque chose s’était cassé dans notre société. Il y a la violence, l’intolérance, la haine de l’autre, le racisme. Il y a cette négation rampante de la Shoah, cher Claude Lanzmann, cette haine des Juifs qui a grandi dans nos quartiers populaires, s’est propagée sur Internet et a contaminé les esprits d’une partie de notre jeunesse. Cette haine, ce sont les tombes que l’on profane, les œuvres d’art, comme celle d’Anish Kapoor, que l’on dégrade. Et il y a aussi cet antisionisme de façade, cet antisémitisme qui ne dit pas son nom.
Et c’est pour cela qu’il fallait résister, comme l’a fait la maire de Paris, à cette polémique insensée qui, derrière une condamnation sans fondement de la ville de Tel Aviv, cachait mal, pour certains en tout cas, une détestation de l’Etat d’Israël et du peuple juif.
Et moi, je mets en garde ceux et celles qui soufflent sur des braises et allument des feux qu’ils sont bien incapables d’éteindre. Après Ilan HALIMI, après Toulouse, après la porte de Vincennes, quand on est un responsable politique, quand on est un élu de la République, on doit toujours mesurer la portée de ses déclarations. Ne pas le faire, c’est se rendre responsable d’une faute morale, d’une atteinte au cœur même de l’esprit républicain et donc de notre patrie. On ne peut pas l’accepter !
Le 11 janvier, dont l’esprit doit rester, l’esprit concret, c’est-à-dire la capacité du peuple français à se surpasser, il y eut donc les mots. Il fallait que suivent les actes, des actes forts.
D’abord, à l’Ecole, car c’est là que tout se joue, dès le plus jeune âge. Le plan d’action annoncé en janvier par la ministre de l’Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, dont vous connaissez l’engagement, prévoit une formation renforcée des personnels enseignants et une meilleure transmission aux élèves de nos valeurs républicaines. Depuis cette rentrée scolaire, des cours de morale civique, dans le cadre d’un parcours citoyen, sont dispensés dans toutes nos classes.
Il n’est pas pensable un seul instant que l’on ne puisse pas enseigner l’histoire des religions. Il n’est pas pensable un seul instant que l’on ne puisse pas prononcer des mots dans une classe d’Ecole de la République. Il n’est pas pensable un seul instant qu’un enfant de l’une de nos écoles dise que son ennemi, c’est le Juif. Et c’est l’Ecole et les enseignants qui sont en première ligne d’un combat essentiel, non seulement pour la République, mais pour ce que nous pensons être l’humanité et la civilisation.
Il y a trois mois, nous avons présenté, avec le nouveau délégué interministériel, Gilles Clavreul, un plan gouvernemental de mobilisation contre le racisme et l’antisémitisme. Il fallait sonner la mobilisation générale de tous les pouvoirs publics, de toute la société, car c’est à chacun de prendre ses responsabilités. Cet automne, une vaste campagne de communication gouvernementale sera lancée. Chaque préfet, chaque procureur de la République, a été chargé d’en mettre en œuvre le volet territorial, et en particulier sa dimension répressive, pour punir les délits avec la sévérité de nos lois.
La mise en réseau des grands acteurs culturels a débuté, c’est le cas par exemple, dès cette rentrée, pour les lieux de mémoire. Cette mobilisation, nous souhaitons qu’elle soit permanente, pour l’Etat, pour les collectivités, pour tous ceux qui exercent un mandat public. Il faut également que toute la société civile – je pense notamment aux associations – se saisisse pleinement de ces enjeux.
Bien sûr, j’en suis conscient, ces actes, à eux seuls, ne suffisent pas. L’action de la France, c’est aussi lutter sans relâche contre le djihadisme, contre cet ennemi qui vise notre démocratie et veut répandre la mort.
La France agit, sous l’autorité du Président de la République, sur son territoire et à l’étranger, au Sahel, en Irak, et aujourd’hui en Syrie, pour frapper l’islamisme radical à la racine, dans ses bastions. Cela sera un combat long, difficile. Vous savez et nous connaissons la menace qui pèse sur nous depuis janvier.
Nous avons encore renforcé nos moyens humains et matériels de lutte antiterroriste. La loi relative au renseignement, adoptée à une très large majorité, donne à nos services un cadre juridique et des moyens de surveillance renouvelés pour prévenir la radicalisation et empêcher que d’autres attentats ne soient commis. En permanence, je veux le rappeler, des cellules sont démantelées, des attentats empêchés, grâce au travail patient et discret qu’accomplissent nos services de renseignement, en coopération avec nos alliés. Grâce, parfois aussi, nous l’avons vu, à l’héroïsme d’hommes, ces Américains et ces Français, dans le Thalys, entre Amsterdam et Paris.
A aucun moment, avec le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve – dont je salue l’action, l’engagement, la précision du verbe, la ténacité et la capacité d’être toujours à la hauteur des événements – nous ne relâchons notre vigilance. Et même s’il faudra du temps, même si nous connaîtrons encore des épreuves, même si nous devons vivre avec ce danger et cette menace que représente le terrorisme, nous mènerons ce combat contre le djihadisme, et – je n’ai aucun doute – nous le gagnerons.
Monsieur le président du consistoire central,
Monsieur le grand rabbin de France,
Mesdames, messieurs,
Notre pays, notre beau pays, fait face à de nombreux défis, et c’est pour cela que la gravité ne me quittera jamais : la menace terroriste – je l’ai dit –, le redressement, bien sûr, de notre économie, pour lutter contre le chômage, le rendez-vous climatique, il est urgent, la crise des réfugiés, qui nous rappelle à notre devoir … Dans ces moments, la France a plus que jamais besoin d’unité, de se rassembler, de se retrouver, pour que chacun soit à la hauteur de ses responsabilités.
Dans ces moments difficiles et périlleux pour la Nation, la France a besoin de tous ses enfants et de tous ses talents. Elle a besoin aussi, comme cela a toujours été le cas, d’une voix juive qui, avec d’autres, bien sûr, se fait entendre.
Vous êtes nombreux à être intervenus, car c’est une part de votre histoire, pour dire votre solidarité avec les réfugiés qui arrivent en Europe. Le grand rabbin Korsia l’a fait, dimanche dernier, à la synagogue de la Victoire, et il y a encore un instant. Ce droit d’asile, qui dit les valeurs de la France, vous le faites vivre.
Nous devons accueillir, avec des règles bien sûr, avec une organisation sérieuse qui s’impose, ceux qui demandent la protection – quelle que soit leur origine. On ne trie pas en fonction de la religion. On accueille les Chrétiens, les Musulmans, les Yézidis. On ne trie pas, dans le droit d’asile. C’est un droit universel. C’est un droit inscrit dans la conscience humaine. C’est un droit qui doit s’imposer. C’est notre rôle, avec l’Europe, et grâce aux initiatives du Président de la République et de la chancelière Merkel.
Et la France, c’est à ce moment-là, même si elle est traversée par des vents mauvais, par des discours insupportables, qu’elle est capable d’être la France, c’est-à-dire forte, généreuse et capable d’accueillir. Oui, vous, par les mots que vous utilisez, par votre mobilisation, vous honorez notre pays, votre pays. La France a besoin de cette voix juive, exigeante, tellement républicaine, qui ne cède pas à l’égarement, à la facilité de la confusion morale, qui ne cède pas non plus à la résignation. Vous savez que répondre à la peur par le repli, c’est servir les objectifs de nos ennemis. La solidarité, l’ouverture, c’est la plus belle preuve de courage que la République puisse affirmer.
Je sais donc que les doutes sont là, ils sont nombreux. Nous savons les inquiétudes. Mais je sais aussi combien la communauté juive de France, si forte dans la diaspora, porte en elle d’énergie et d’enthousiasme.
Ma responsabilité, avec le Président de la République, avec le gouvernement, avec les parlementaires, quel que soit leur engagement politique, et je les salue tous, parce que je sais qu’ils sont tous et toutes à la hauteur du moment, c’est d’être lucides sur les risques. Et nous voulons dire que nous sommes là, que notre vigilance est absolue.
Mais la lucidité, cela n’a rien à voir avec le déclinisme, et notre devoir, c’est donc aussi de rester optimistes quant à l’avenir. La peur, vous la refusez. Le pessimisme, il est là, parce que l’histoire est passée. Mais vous faites briller aussi la joie et l’optimisme, malgré les épreuves.
Oui, notre devoir, c’est donc aussi de rester optimistes quant à l’avenir. C’est la meilleure, la plus forte, la plus belle des réponses que nous puissions, tous, ensemble, apporter. Soyez certains de cet engagement et de mon engagement. »Shana Tova »! Très bonne année à tous ! Et à tous, mesdames et messieurs, chers amis, chers compatriotes, vive la République et vive la France !Discours du 8 septembre 2015, Discours lors de la cérémonie des vœux du Consistoire
"Le raffinage ne confisque pas la baisse des prix du pétrole", selon Philippe Sauquet de Total
Philippe Sauquet est directeur général de la branche Raffinage-Chimie de Total. Au premier semestre 2015, le raffinage du groupe a multiplié son chiffre d’affaires par trois grâce à la baisse des cours du pétrole. Ces bénéfices viennent en partie compenser la chute des résultats dans la production de pétrole.
Remise du rapport « La négociation collective, le travail et l’emploi » de Jean-Denis Combrexelle
Manuel Valls, Premier ministre, recevra le rapport de Jean-Denis Combrexelle « La négociation collective, le travail et l’emploi »
à l’Hôtel de Matignon,
mercredi 9 septembre 2015 à 12h00,
en présence de Myriam El Khomri, ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social.
Déroulé prévisionnel :
12h00 : Remise du rapport « La négociation collective, le travail et l’emploi » de Jean-Denis Combrexelle au Premier ministre, en présence de Myriam El Khomri, ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue socialTour d’images
12h05 : Entretien de Manuel Valls, Premier ministre, Myriam El Khomri, Jean-Denis Combrexelle, ainsi que les membres de sa commissionHors presse
12h40 environ : Allocution de Manuel Valls, Premier ministre, en présence de Myriam El Khomri, ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social, et de Jean-Denis Combrexelle, suivie d’un question-réponse avec la presseRédacteurs accrédités. Pool TV (France Télévisions) + pool photographes.
14h00 : Débrief presse présidé par Jean-Denis Combrexelle (France Stratégie, 18, rue de Martignac, Paris 7e)
La cour de l’Hôtel de Matignon sera ouverte dès 11h15 aux journalistes accrédités à l’adresse communication@pm.gouv avant mercredi 9 septembre, 09h00.
Accès sur accréditation et présentation de la carte de presse 2015.
Contacts :
01 42 75 50 78/79 01 42 75 80 15communication@pm.gouvNote aux rédactions du 8 septembre 2015, Remise du rapport « La négociation collective, le travail et l’emploi »
Terrena et Maïsadour envisagent de marier leurs semences
Les deux groupes coopératifs, Terrena et Maïsadour, annoncent l’entame de discussions en vue de mutualiser leurs activités semences. Leur objectif est de finaliser les négociations d’ici à l’ét&…
En images : Rolls-Royce présente son coupé cabriolet Dawn
Le constructeur britannique vient de lancer son nouveau modèle sous forme de conférence de presse interactive en ligne. La Rolls Royce Dawn est un coupé cabriolet équipé d’un moteur V12 bi-turbo de 6,6 litres. I…