Les régions de formation d'étoiles les plus intenses de l'Univers jeune interagissent fortement avec leur environnement en échangeant rapidement d'énormes quantités de gaz. Cette découverte, réalisée par une équipe internationale d'astronomes, notamment de l'Institut d'astrophysique spatiale (Université Paris-Sud/CNRS), du Laboratoire d'astrophysique de Marseille (Aix-Marseille Université/CNRS) et du laboratoire Astrophysique instrumentation modélisation (Université Paris Diderot/CEA/CNRS), apporte un nouvel indice pour comprendre comment ces galaxies massives ont pu croître si vite, il y a environ 11 milliards d'années. Cette étude est publiée, à travers deux articles, dans la revue du 30 novembre 2018.