Selon une étude menée par les chercheurs du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), d’ici la fin du siècle les variations saisonnières de l’acidité des océans (pH) seront plus marquées qu’aujourd’hui, pouvant même être multipliées par deux. La saisonnalité du pH, considérée jusqu’à présent comme plutôt favorable à l’adaptation des organismes marins au réchauffement global, pourrait en réalité se révéler délétère. Ce paramètre doit désormais être mieux pris en compte dans les modèles climatiques. Ces résultats sont publiés dans la revue le 29 janvier 2018.