Fin 2015, le constructeur allemand avait fait amende honorable et semblait prêt à démarrer 2016 en remettant les 9 millions de véhicules incriminés aux normes. C’était sans compter sur l’ingéniosité du groupe allemand pour torpiller sa propre communication de crise.
Matthias Muller a repris la direction de Volkswagen à la suite du scandale découvert aux Etats-Unis. […] Lire la suite de l'article