En identifiant formellement le principal acteur de la fusion entre les deux cellules sexuelles mâle et femelle, des chercheurs de l’Institut Pasteur, du CNRS et de l’Université Paris Descartes, associés à des équipes américaines et allemandes, dévoilent l’origine virale probable de ce processus de fusion, commun à une grande partie des organismes vivants sur Terre. L’étude fournit en outre de nouvelles pistes de recherche à perspective thérapeutique, visant à bloquer cette fusion chez les pathogènes qui y ont recours, comme l’agent du paludisme. Ces résultats sont publiés le 23 février 2017 dans la revue .