Les résultats d’une étude de Julie Landes, doctorante du Muséum National d’Histoire Naturelle, dirigée par des chercheurs des laboratoires Eco-anthropologie et ethnobiologie et Mécanismes adaptatifs et évolution (CNRS/MNHN), et réalisée en collaboration avec l’Institut national d’études démographiques, suggèrent que les remaniements physiologiques liés aux transitions saisonnières génèrent des dommages à l’organisme, augmentant la mortalité des espèces. Pour cette étude, les chercheurs ont analysé près de 17 ans de suivi démographique de microcèbes murins. Ces résultats sont publiés dans la revue le 8 juin.