157 heures... c’est un claquement de doigts. Pas même la durée d’une semaine complète. Et pourtant, en 157 heures, l’énergie française a connu sa période la plus folle. Une succession d’évènements improbables et même surréalistes sont survenus, qui aurait pu déstabiliser ce gigantesque ce secteur mais qui a finalement montré la solidité de la gouvernance de ses grands groupes.