Terrorisme islamiste, d’un défaitisme à l’autre

Eternelle faiblesse des « démocraties », dans les années 1930 comme aujourd’hui. Et quand elles se réveillent, il est déjà trop tard. La bataille contre le terrorisme islamiste ou le djihadisme était perdue quand un Premier ministre français en 2015, en pleine terreur, déclarait « Il va falloir s’habituer à vitre avec le terrorisme », ces paroles défaitistes. L’attentat à l’arme blanche qui a fait deux blessés graves dans l’ex-quartier de Charlie hebdo est un signal dramatique: n’importe où, même en ce lieu les plus emblématiques, les tueurs peuvent frapper. Dans ce combat sans merci contre le mal absolu, une terreur qui a causé plus de 260 morts en cinq ans,  tout le nécessaire n’a pas été fait. La France d’en haut, des élites dirigeantes ou influentes, médiatiques s’est abîmée dans la compromission: excuses envers les tortionnaires de Charlie (et du Bataclan) de la part de supposées autorités morales; décisions invraisemblables des juridictions empêchant  des mesures de sécurité envers les terroristes et l’usage d’Internet; climat de complaisance générale envers les actes pré-djihadistes, tels que les agressions violentes commises envers des jeunes filles en raison de leur tenue vestimentaire; profondeurs et virulence des tabous relatifs à la maîtrise des frontière (un sujet lâchement abandonné aux extrémistes démagogues) et à la lutte contre le communautarisme ou la violence des cités; peur des mots (« séparatisme » plutôt qu’islamisme ou djihadisme), reflet de la peur des réalités et de la politique de l’autruche. 2020 = 1933-1939: même réflexe de lâcheté, même pacifisme, même défaitisme conduisant à l’apocalypse.

Maxime TANDONNET

Author: Redaction

Terrorisme islamiste, d’un défaitisme à l’autre

Eternelle faiblesse des « démocraties », dans les années 1930 comme aujourd’hui. Et quand elles se réveillent, il est déjà trop tard. La bataille contre le terrorisme islamiste ou le djihadisme était perdue quand un Premier ministre français en 2015, en pleine terreur, déclarait « Il va falloir s’habituer à vitre avec le terrorisme », ces paroles défaitistes. L’attentat à l’arme blanche qui a fait deux blessés graves dans l’ex-quartier de Charlie hebdo est un signal dramatique: n’importe où, même en ce lieu les plus emblématiques, les tueurs peuvent frapper. Dans ce combat sans merci contre le mal absolu, une terreur qui a causé plus de 260 morts en cinq ans,  tout le nécessaire n’a pas été fait. La France d’en haut, des élites dirigeantes ou influentes, médiatiques s’est abîmée dans la compromission: excuses envers les tortionnaires de Charlie (et du Bataclan) de la part de supposées autorités morales; décisions invraisemblables des juridictions empêchant  des mesures de sécurité envers les terroristes et l’usage d’Internet; climat de complaisance générale envers les actes pré-djihadistes, tels que les agressions violentes commises envers des jeunes filles en raison de leur tenue vestimentaire; profondeurs et virulence des tabous relatifs à la maîtrise des frontière (un sujet lâchement abandonné aux extrémistes démagogues) et à la lutte contre le communautarisme ou la violence des cités; peur des mots (« séparatisme » plutôt qu’islamisme ou djihadisme), reflet de la peur des réalités et de la politique de l’autruche. 2020 = 1933-1939: même réflexe de lâcheté, même pacifisme, même défaitisme conduisant à l’apocalypse.

Maxime TANDONNET

Author: Redaction

Terrorisme islamiste, d’un défaitisme à l’autre

Eternelle faiblesse des « démocraties », dans les années 1930 comme aujourd’hui. Et quand elles se réveillent, il est déjà trop tard. La bataille contre le terrorisme islamiste ou le djihadisme était perdue quand un Premier ministre français en 2015, en pleine terreur, déclarait « Il va falloir s’habituer à vitre avec le terrorisme », ces paroles défaitistes. L’attentat à l’arme blanche qui a fait deux blessés graves dans l’ex-quartier de Charlie hebdo est un signal dramatique: n’importe où, même en ce lieu les plus emblématiques, les tueurs peuvent frapper. Dans ce combat sans merci contre le mal absolu, une terreur qui a causé plus de 260 morts en cinq ans,  tout le nécessaire n’a pas été fait. La France d’en haut, des élites dirigeantes ou influentes, médiatiques s’est abîmée dans la compromission: excuses envers les tortionnaires de Charlie (et du Bataclan) de la part de supposées autorités morales; décisions invraisemblables des juridictions empêchant  des mesures de sécurité envers les terroristes et l’usage d’Internet; climat de complaisance générale envers les actes pré-djihadistes, tels que les agressions violentes commises envers des jeunes filles en raison de leur tenue vestimentaire; profondeurs et virulence des tabous relatifs à la maîtrise des frontière (un sujet lâchement abandonné aux extrémistes démagogues) et à la lutte contre le communautarisme ou la violence des cités; peur des mots (« séparatisme » plutôt qu’islamisme ou djihadisme), reflet de la peur des réalités et de la politique de l’autruche. 2020 = 1933-1939: même réflexe de lâcheté, même pacifisme, même défaitisme conduisant à l’apocalypse.

Maxime TANDONNET

Author: Redaction

Terrorisme islamiste, d’un défaitisme à l’autre

Eternelle faiblesse des « démocraties », dans les années 1930 comme aujourd’hui. Et quand elles se réveillent, il est déjà trop tard. La bataille contre le terrorisme islamiste ou le djihadisme était perdue quand un Premier ministre français en 2015, en pleine terreur, déclarait « Il va falloir s’habituer à vitre avec le terrorisme », ces paroles défaitistes. L’attentat à l’arme blanche qui a fait deux blessés graves dans l’ex-quartier de Charlie hebdo est un signal dramatique: n’importe où, même en ce lieu les plus emblématiques, les tueurs peuvent frapper. Dans ce combat sans merci contre le mal absolu, une terreur qui a causé plus de 260 morts en cinq ans,  tout le nécessaire n’a pas été fait. La France d’en haut, des élites dirigeantes ou influentes, médiatiques s’est abîmée dans la compromission: excuses envers les tortionnaires de Charlie (et du Bataclan) de la part de supposées autorités morales; décisions invraisemblables des juridictions empêchant  des mesures de sécurité envers les terroristes et l’usage d’Internet; climat de complaisance générale envers les actes pré-djihadistes, tels que les agressions violentes commises envers des jeunes filles en raison de leur tenue vestimentaire; profondeurs et virulence des tabous relatifs à la maîtrise des frontière (un sujet lâchement abandonné aux extrémistes démagogues) et à la lutte contre le communautarisme ou la violence des cités; peur des mots (« séparatisme » plutôt qu’islamisme ou djihadisme), reflet de la peur des réalités et de la politique de l’autruche. 2020 = 1933-1939: même réflexe de lâcheté, même pacifisme, même défaitisme conduisant à l’apocalypse.

Maxime TANDONNET

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