Étiquette : grande distribution

En juin 2015, Toys’R’Us a inauguré son nouveau site français à Saint Fargeau Ponthierry (Seine-et-Marne), très précisemment cela ne s’invente pas au numéro 1 de l’allée des Lutins ! Situé à une cinquantaine de kilomètres de Paris, il réunit le siège social et le nouvel entrepôt de l’enseigne. Un projet pour le moins ambitieux : « la principale difficulté consistait à regrouper en un seul nos trois précédents entrepôts et créer un outil qui serait encore efficace dans dix ans », explique Gaël Jamin, directeur des opérations et de la supply chain de Toys’R’Us, nommé lead exécutif pour l’Europe depuis la réorganisation de l’enseigne en début d’été.

Un investissement de 13 millions d’euros

Le groupe américain a investi 13 millions d’euros pour construire ce site, dont près de 8 millions dans un nouveau convoyeur logistique à dimension. « Nous disposons désormais de l’outil logistique le plus performant du marché, capable de gérer l’expédition comme la réception. Or, en logistique, le plus gros risque est que les flux se croisent », commente Gaël Jamin.

Avec ce nouvel entrepôt, l’enseigne a gagné en capacité et en souplesse : 7000 cartons par heure y sont traités (contre 2500 par heure sur l’ancien site logistique d’Evry). Un atout pour gérer le pic saisonnier de Noël : « hors saison, nous recevons 50 000 cartons par semaine, contre 250 000 lors de la saison de Noël », précise Naoufel Benachour, directeur de la logistique. Les « lutins » du Père Noël ne chôment pas…

En juin 2015, Toys’R’Us a inauguré son nouveau site français à Saint Fargeau Ponthierry (Seine-et-Marne), très précisemment cela ne s’invente pas au numéro 1 de l’allée des Lutins ! Situé à une cinquantaine de kilomètres de Paris, il réunit le siège social et le nouvel entrepôt de l’enseigne. Un projet pour le moins ambitieux : « la principale difficulté consistait à regrouper en un seul nos trois précédents entrepôts et créer un outil qui serait encore efficace dans dix ans », explique Gaël Jamin, directeur des opérations et de la supply chain de Toys’R’Us, nommé lead exécutif pour l’Europe depuis la réorganisation de l’enseigne en début d’été.

Un investissement de 13 millions d’euros

Le groupe américain a investi 13 millions d’euros pour construire ce site, dont près de 8 millions dans un nouveau convoyeur logistique à dimension. « Nous disposons désormais de l’outil logistique le plus performant du marché, capable de gérer l’expédition comme la réception. Or, en logistique, le plus gros risque est que les flux se croisent », commente Gaël Jamin.

Avec ce nouvel entrepôt, l’enseigne a gagné en capacité et en souplesse : 7000 cartons par heure y sont traités (contre 2500 par heure sur l’ancien site logistique d’Evry). Un atout pour gérer le pic saisonnier de Noël : « hors saison, nous recevons 50 000 cartons par semaine, contre 250 000 lors de la saison de Noël », précise Naoufel Benachour, directeur de la logistique. Les « lutins » du Père Noël ne chôment pas…

En juin 2015, Toys’R’Us a inauguré son nouveau site français à Saint Fargeau Ponthierry (Seine-et-Marne), très précisemment cela ne s’invente pas au numéro 1 de l’allée des Lutins ! Situé à une cinquantaine de kilomètres de Paris, il réunit le siège social et le nouvel entrepôt de l’enseigne. Un projet pour le moins ambitieux : « la principale difficulté consistait à regrouper en un seul nos trois précédents entrepôts et créer un outil qui serait encore efficace dans dix ans », explique Gaël Jamin, directeur des opérations et de la supply chain de Toys’R’Us, nommé lead exécutif pour l’Europe depuis la réorganisation de l’enseigne en début d’été.

Un investissement de 13 millions d’euros

Le groupe américain a investi 13 millions d’euros pour construire ce site, dont près de 8 millions dans un nouveau convoyeur logistique à dimension. « Nous disposons désormais de l’outil logistique le plus performant du marché, capable de gérer l’expédition comme la réception. Or, en logistique, le plus gros risque est que les flux se croisent », commente Gaël Jamin.

Avec ce nouvel entrepôt, l’enseigne a gagné en capacité et en souplesse : 7000 cartons par heure y sont traités (contre 2500 par heure sur l’ancien site logistique d’Evry). Un atout pour gérer le pic saisonnier de Noël : « hors saison, nous recevons 50 000 cartons par semaine, contre 250 000 lors de la saison de Noël », précise Naoufel Benachour, directeur de la logistique. Les « lutins » du Père Noël ne chôment pas…

En juin 2015, Toys’R’Us a inauguré son nouveau site français à Saint Fargeau Ponthierry (Seine-et-Marne), très précisemment cela ne s’invente pas au numéro 1 de l’allée des Lutins ! Situé à une cinquantaine de kilomètres de Paris, il réunit le siège social et le nouvel entrepôt de l’enseigne. Un projet pour le moins ambitieux : « la principale difficulté consistait à regrouper en un seul nos trois précédents entrepôts et créer un outil qui serait encore efficace dans dix ans », explique Gaël Jamin, directeur des opérations et de la supply chain de Toys’R’Us, nommé lead exécutif pour l’Europe depuis la réorganisation de l’enseigne en début d’été.

Un investissement de 13 millions d’euros

Le groupe américain a investit 13 millions d’euros pour construire ce site, dont près de 8 millions dans un nouveau convoyeur logistique à dimension. « Nous disposons désormais de l’outil logistique le plus performant du marché, capable de gérer l’expédition comme la réception. Or, en logistique, le plus gros risque est que les flux se croisent », commente Gaël Jamin.

Avec ce nouvel entrepôt, l’enseigne a gagné en capacité et en souplesse : 7000 cartons par heure y sont traitées (contre 2500 par heure sur l’ancien site logistique d’Evry). Un atout pour gérer le pic saisonnier de Noël : « hors saison, nous recevons 50 000 cartons par semaine, contre 250 000 lors de la saison de Noël », précise Naoufel Benachour, directeur de la logistique. Les « lutins » du Père Noël ne chôment pas…

En juin 2015, Toys’R’Us a inauguré son nouveau site français à Saint Fargeau Ponthierry (Seine-et-Marne), très précisemment cela ne s’invente pas au numéro 1 de l’allée des Lutins ! Situé à une cinquantaine de kilomètres de Paris, il réunit le siège social et le nouvel entrepôt de l’enseigne. Un projet pour le moins ambitieux : « la principale difficulté consistait à regrouper en un seul nos trois précédents entrepôts et créer un outil qui serait encore efficace dans dix ans », explique Gaël Jamin, directeur des opérations et de la supply chain de Toys’R’Us, nommé lead exécutif pour l’Europe depuis la réorganisation de l’enseigne en début d’été.

Un investissement de 13 millions d’euros

Le groupe américain a investi 13 millions d’euros pour construire ce site, dont près de 8 millions dans un nouveau convoyeur logistique à dimension. « Nous disposons désormais de l’outil logistique le plus performant du marché, capable de gérer l’expédition comme la réception. Or, en logistique, le plus gros risque est que les flux se croisent », commente Gaël Jamin.

Avec ce nouvel entrepôt, l’enseigne a gagné en capacité et en souplesse : 7000 cartons par heure y sont traités (contre 2500 par heure sur l’ancien site logistique d’Evry). Un atout pour gérer le pic saisonnier de Noël : « hors saison, nous recevons 50 000 cartons par semaine, contre 250 000 lors de la saison de Noël », précise Naoufel Benachour, directeur de la logistique. Les « lutins » du Père Noël ne chôment pas…

En juin 2015, Toys’R’Us a inauguré son nouveau site français à Saint Fargeau Ponthierry (Seine-et-Marne), très précisemment cela ne s’invente pas au numéro 1 de l’allée des Lutins ! Situé à une cinquantaine de kilomètres de Paris, il réunit le siège social et le nouvel entrepôt de l’enseigne. Un projet pour le moins ambitieux : « la principale difficulté consistait à regrouper en un seul nos trois précédents entrepôts et créer un outil qui serait encore efficace dans dix ans », explique Gaël Jamin, directeur des opérations et de la supply chain de Toys’R’Us, nommé lead exécutif pour l’Europe depuis la réorganisation de l’enseigne en début d’été.

Un investissement de 13 millions d’euros

Le groupe américain a investi 13 millions d’euros pour construire ce site, dont près de 8 millions dans un nouveau convoyeur logistique à dimension. « Nous disposons désormais de l’outil logistique le plus performant du marché, capable de gérer l’expédition comme la réception. Or, en logistique, le plus gros risque est que les flux se croisent », commente Gaël Jamin.

Avec ce nouvel entrepôt, l’enseigne a gagné en capacité et en souplesse : 7000 cartons par heure y sont traités (contre 2500 par heure sur l’ancien site logistique d’Evry). Un atout pour gérer le pic saisonnier de Noël : « hors saison, nous recevons 50 000 cartons par semaine, contre 250 000 lors de la saison de Noël », précise Naoufel Benachour, directeur de la logistique. Les « lutins » du Père Noël ne chôment pas…

En juin 2015, Toys’R’Us a inauguré son nouveau site français à Saint Fargeau Ponthierry (Seine-et-Marne), très précisemment cela ne s’invente pas au numéro 1 de l’allée des Lutins ! Situé à une cinquantaine de kilomètres de Paris, il réunit le siège social et le nouvel entrepôt de l’enseigne. Un projet pour le moins ambitieux : « la principale difficulté consistait à regrouper en un seul nos trois précédents entrepôts et créer un outil qui serait encore efficace dans dix ans », explique Gaël Jamin, directeur des opérations et de la supply chain de Toys’R’Us, nommé lead exécutif pour l’Europe depuis la réorganisation de l’enseigne en début d’été.

Un investissement de 13 millions d’euros

Le groupe américain a investi 13 millions d’euros pour construire ce site, dont près de 8 millions dans un nouveau convoyeur logistique à dimension. « Nous disposons désormais de l’outil logistique le plus performant du marché, capable de gérer l’expédition comme la réception. Or, en logistique, le plus gros risque est que les flux se croisent », commente Gaël Jamin.

Avec ce nouvel entrepôt, l’enseigne a gagné en capacité et en souplesse : 7000 cartons par heure y sont traités (contre 2500 par heure sur l’ancien site logistique d’Evry). Un atout pour gérer le pic saisonnier de Noël : « hors saison, nous recevons 50 000 cartons par semaine, contre 250 000 lors de la saison de Noël », précise Naoufel Benachour, directeur de la logistique. Les « lutins » du Père Noël ne chôment pas…

En juin 2015, Toys’R’Us a inauguré son nouveau site français à Saint Fargeau Ponthierry (Seine-et-Marne), très précisemment cela ne s’invente pas au numéro 1 de l’allée des Lutins ! Situé à une cinquantaine de kilomètres de Paris, il réunit le siège social et le nouvel entrepôt de l’enseigne. Un projet pour le moins ambitieux : « la principale difficulté consistait à regrouper en un seul nos trois précédents entrepôts et créer un outil qui serait encore efficace dans dix ans », explique Gaël Jamin, directeur des opérations et de la supply chain de Toys’R’Us, nommé lead exécutif pour l’Europe depuis la réorganisation de l’enseigne en début d’été.

Un investissement de 13 millions d’euros

Le groupe américain a investi 13 millions d’euros pour construire ce site, dont près de 8 millions dans un nouveau convoyeur logistique à dimension. « Nous disposons désormais de l’outil logistique le plus performant du marché, capable de gérer l’expédition comme la réception. Or, en logistique, le plus gros risque est que les flux se croisent », commente Gaël Jamin.

Avec ce nouvel entrepôt, l’enseigne a gagné en capacité et en souplesse : 7000 cartons par heure y sont traités (contre 2500 par heure sur l’ancien site logistique d’Evry). Un atout pour gérer le pic saisonnier de Noël : « hors saison, nous recevons 50 000 cartons par semaine, contre 250 000 lors de la saison de Noël », précise Naoufel Benachour, directeur de la logistique. Les « lutins » du Père Noël ne chôment pas…

En juin 2015, Toys’R’Us a inauguré son nouveau site français à Saint Fargeau Ponthierry (Seine-et-Marne), très précisemment cela ne s’invente pas au numéro 1 de l’allée des Lutins ! Situé à une cinquantaine de kilomètres de Paris, il réunit le siège social et le nouvel entrepôt de l’enseigne. Un projet pour le moins ambitieux : « la principale difficulté consistait à regrouper en un seul nos trois précédents entrepôts et créer un outil qui serait encore efficace dans dix ans », explique Gaël Jamin, directeur des opérations et de la supply chain de Toys’R’Us, nommé lead exécutif pour l’Europe depuis la réorganisation de l’enseigne en début d’été.

Un investissement de 13 millions d’euros

Le groupe américain a investi 13 millions d’euros pour construire ce site, dont près de 8 millions dans un nouveau convoyeur logistique à dimension. « Nous disposons désormais de l’outil logistique le plus performant du marché, capable de gérer l’expédition comme la réception. Or, en logistique, le plus gros risque est que les flux se croisent », commente Gaël Jamin.

Avec ce nouvel entrepôt, l’enseigne a gagné en capacité et en souplesse : 7000 cartons par heure y sont traités (contre 2500 par heure sur l’ancien site logistique d’Evry). Un atout pour gérer le pic saisonnier de Noël : « hors saison, nous recevons 50 000 cartons par semaine, contre 250 000 lors de la saison de Noël », précise Naoufel Benachour, directeur de la logistique. Les « lutins » du Père Noël ne chôment pas…

En juin 2015, Toys’R’Us a inauguré son nouveau site français à Saint Fargeau Ponthierry (Seine-et-Marne), très précisemment cela ne s’invente pas au numéro 1 de l’allée des Lutins ! Situé à une cinquantaine de kilomètres de Paris, il réunit le siège social et le nouvel entrepôt de l’enseigne. Un projet pour le moins ambitieux : « la principale difficulté consistait à regrouper en un seul nos trois précédents entrepôts et créer un outil qui serait encore efficace dans dix ans », explique Gaël Jamin, directeur des opérations et de la supply chain de Toys’R’Us, nommé lead exécutif pour l’Europe depuis la réorganisation de l’enseigne en début d’été.

Un investissement de 13 millions d’euros

Le groupe américain a investi 13 millions d’euros pour construire ce site, dont près de 8 millions dans un nouveau convoyeur logistique à dimension. « Nous disposons désormais de l’outil logistique le plus performant du marché, capable de gérer l’expédition comme la réception. Or, en logistique, le plus gros risque est que les flux se croisent », commente Gaël Jamin.

Avec ce nouvel entrepôt, l’enseigne a gagné en capacité et en souplesse : 7000 cartons par heure y sont traités (contre 2500 par heure sur l’ancien site logistique d’Evry). Un atout pour gérer le pic saisonnier de Noël : « hors saison, nous recevons 50 000 cartons par semaine, contre 250 000 lors de la saison de Noël », précise Naoufel Benachour, directeur de la logistique. Les « lutins » du Père Noël ne chôment pas…

En juin 2015, Toys’R’Us a inauguré son nouveau site français à Saint Fargeau Ponthierry (Seine-et-Marne), très précisemment cela ne s’invente pas au numéro 1 de l’allée des Lutins ! Situé à une cinquantaine de kilomètres de Paris, il réunit le siège social et le nouvel entrepôt de l’enseigne. Un projet pour le moins ambitieux : « la principale difficulté consistait à regrouper en un seul nos trois précédents entrepôts et créer un outil qui serait encore efficace dans dix ans », explique Gaël Jamin, directeur des opérations et de la supply chain de Toys’R’Us, nommé lead exécutif pour l’Europe depuis la réorganisation de l’enseigne en début d’été.

Un investissement de 13 millions d’euros

Le groupe américain a investi 13 millions d’euros pour construire ce site, dont près de 8 millions dans un nouveau convoyeur logistique à dimension. « Nous disposons désormais de l’outil logistique le plus performant du marché, capable de gérer l’expédition comme la réception. Or, en logistique, le plus gros risque est que les flux se croisent », commente Gaël Jamin.

Avec ce nouvel entrepôt, l’enseigne a gagné en capacité et en souplesse : 7000 cartons par heure y sont traités (contre 2500 par heure sur l’ancien site logistique d’Evry). Un atout pour gérer le pic saisonnier de Noël : « hors saison, nous recevons 50 000 cartons par semaine, contre 250 000 lors de la saison de Noël », précise Naoufel Benachour, directeur de la logistique. Les « lutins » du Père Noël ne chôment pas…

IRI et Climpact-Metnext viennent de dresser le bilan complet de l’impact de la météo pendant l’été 2015, sur les produits de grande consommation. Le voici avec les gains par catégories de produits ainsi que les effets négatifs pour d’autres catégories des PGC.

En juin 2015, Toys’R’Us a inauguré son nouveau site français à Saint Fargeau Ponthierry (Seine-et-Marne), très précisemment cela ne s’invente pas au numéro 1 de l’allée des Lutins ! Situé à une cinquantaine de kilomètres de Paris, il réunit le siège social et le nouvel entrepôt de l’enseigne. Un projet pour le moins ambitieux : « la principale difficulté consistait à regrouper en un seul nos trois précédents entrepôts et créer un outil qui serait encore efficace dans dix ans », explique Gaël Jamin, directeur des opérations et de la supply chain de Toys’R’Us, nommé lead exécutif pour l’Europe depuis la réorganisation de l’enseigne en début d’été.

Un investissement de 13 millions d’euros

Le groupe américain a investi 13 millions d’euros pour construire ce site, dont près de 8 millions dans un nouveau convoyeur logistique à dimension. « Nous disposons désormais de l’outil logistique le plus performant du marché, capable de gérer l’expédition comme la réception. Or, en logistique, le plus gros risque est que les flux se croisent », commente Gaël Jamin.

Avec ce nouvel entrepôt, l’enseigne a gagné en capacité et en souplesse : 7000 cartons par heure y sont traités (contre 2500 par heure sur l’ancien site logistique d’Evry). Un atout pour gérer le pic saisonnier de Noël : « hors saison, nous recevons 50 000 cartons par semaine, contre 250 000 lors de la saison de Noël », précise Naoufel Benachour, directeur de la logistique. Les « lutins » du Père Noël ne chôment pas…

La société SOGEC, spécialisée dans marketing promotionnel et relationnel, analyse le rôle de la promotion sous ses différentes formes tout au long du parcours d’achat, de la préparation de la list…

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Fortement engagé dans la distribution en circuit court, Biocoop, le 1er réseau de magasins bio en France, lance une offre de yaourts nature, régionalisés, au lait de vache.…

27 drives ont été ouverts en France le mois dernier, après un mois de juillet au ralenti. Le cap des 3000 untiés est désormais dépassé, si l’on exclut les zones de retrait à l’accueil des magasins.

L’agence Buzzman lance du 16 au 20 septembre 2015 le « Personnal Queuer », une personne qui prend la place du client dans les files d’attente. Une opération marketing qui s’inscrit dans le cadre de l’ouverture du flagship Burger King de La Défense, près de Paris.

L’entreprise sud-coréenne serait en train de tester un smartphone avec un écran pliable en deux selon le site spécialisé SAMmobile. Samsung avait d’ores et déjà fait des annonces sur le sujet, et ce « project valley » pourrait être commercialisé dès janvier 2016.

La Fédération Française des Entreprises et Entrepreneurs de France (FEEF) a remis, en partenariat avec LSA, mardi 15 septembre 2015, ces trophées des Grés d’Or. Ces prix récompensent des partenariats en…

Pour qui veut céder ou acquérir des murs commerciaux situés en emplacements « prime et numéro un » des artères urbaines, il n’existait pas de spécialistes dédiés. D’où un système de transactions atomisé, opaque et fastidieux en démarches. Edouard Detaille et Olivier Bacquet proposent leur solution en fondant mureo. Cette place de marché permet aux propriétaires de soumettre leurs boutiques ou magasins aux enchères d’un groupe d’investisseurs sélectionnés par Mureo. Ceci sans frais ni engagements préalable. Au terme desquelles l’investisseur le mieux-disant décroche la transaction. Le tout en 4 mois, au lieu de 6 mois en moyenne. Mureo démarre sa prestation de «go-between immobilier» sur Paris, ce 16 septembre 2015. Et projette de l’étendre rapidement à d’autres grandes villes françaises.

Une brasserie bruxelloise récupère le pain invendu de trois supermarchés de la chaîne Delhaize pour fabriquer de la bière artisanale. Un projet anti-gaspillage qui rencontre un certain succès en Belgique.&nbsp…

Le SIAL, le salon international de l’alimentation, présente sa nouvelle campagne de communication mondiale avec à la clé une nouvelle signature et une nouvelle charte graphique, qui seront déclinées à partir d’avril 2016 avec en point d’orgue le SIAL Paris, qui se tiendra du 16 au 20 octobre 2016.

Start-up française, Romy Paris lance la machine Figure qui se veut un « assistant de beauté ». Elle est capable de délivrer un sérum ou une crème conçus sur mesure pour les besoins de la peau de l’utilisateur. Celui-ci a juste à introduire les capsules d’ingrédients dans la machine.

Endeuillé par la disparition de son Pdg Satoru Iwata en juillet dernier, Nintendo se réaorganise et a promu début septembre 2015 Philippe Lavoué au poste de directeur général de sa filiale française. P…

Elizabeth Arden vient d’ouvrir un pop up store dans la très chic galerie Passy Plaza dans le 16e arrondissement de Paris. La boutique éphémère propose l’intégralité de l’offre de la marque n…

Agrandi et renové, ce magasin est le premier hyper U à basculer sous enseigne Auchan, dans le cadre du partenariat approfondi noué entre les deux distributeurs. Il propose dorénavant la « panoplie » des hypers Auchan, avec un rayon vrac, et des univers particuliers comme une cave à bières, une parapharmacie ou un Sushi Gourmet.

Dans un entretien exclusif accordé à LSA, Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, revient sur la crise agricole qui frappe les filières laitière, porcine et bovine. Selon lui, les distributeurs ne sont pa…

La 12e édition du salon E­­-commerce se place aussi sous le signe de l’omnicanalité, réunissant l’ensemble de la filière e-commerce pour réfléchir sur les nouveaux business plans. Lir…

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Pendant trois jours, du 21 au 23 septembre, le salon Digital in Store fera la part belle aux solutions technologiques permettant aux enseignes de prendre le virage de l’omnicanalité. Et cette quête implique de profonds changements…

La ligne Nectar of Nature des Cosmétiques Design Paris, la MDD beauté de Carrefour, est maintenant composée uniquement de cosmétiques bio. Les références de cosmétiques naturels passent sous la n…

La demande a été telle que les enseignes n’ont pas forcément pu faire face en temps et en heure. Le délai a été rallongé jusqu’au 1er janvier 2016 pour que les ménages puissent s’équiper en détecteurs de fumée. Le potentiel est donc toujours là.

Lidl est fier, l’enseigne vient d’annoncer avoir franchi le cap du million de fans sur Facebook, ce qui en fait le deuxième distributeur le plus « liké » dans l’alimentaire en France.