Syrie : Interview du Président dans le Monde du 31.08.13

« Le massacre chimique de Damas ne peut ni ne doit rester impuni. Sinon ce serait prendre le risque d’une escalade qui banaliserait l’usage de ces armes et menacerait d’autres pays. Je ne suis pas favorable à une intervention internationale qui viserait à « libérer » la Syrie ou à renverser le dictateur, mais j’estime qu’un coup d’arrêt doit être porté à un régime qui commet l’irréparable sur sa population. »

Author: Redaction