À partir des données fournies par la sonde Rosetta de l’ESA sur la comète 67P/Tchourioumov-Guerassimenko, des chercheurs, notamment du Laboratoire d’études spatiales et d’instrumentation en astrophysique (Observatoire de Paris / CNRS / UPMC / Université Paris Diderot) et de l’Institut de planétologie et d’astrophysique de Grenoble (Université Joseph Fourier / CNRS), apportent la première preuve observationnelle de l’existence d’un cycle quotidien de la glace d’eau à la surface de la comète.