Avouez que c'est quand même un drôle de symbole que ces 7 500 départs chez Renault. Je ne veux pas ici expliquer en quoi c'est une preuve des erreurs stratégiques des anciens dirigeants de la marque au losange. Encore moins en faire un exemple de l'inflexion du discours économique du gouvernement (il y a seulement six mois, pour ses 8 000 suppressions de postes, PSA n'a pas eu droit aux mêmes égards)… Non, ce qui m'interroge aujourd'hui, c'est plutôt le message porté par ce plan de préretraite décidé au nom de la compétitivité.
Que dit la marque au losange en proposant à 7 500 personnes de quitter l'entreprise d'ici à 2016 en touchant 75 % de leur dernier salaire ? Tout […]