Des chercheurs de l’Inserm, du CNRS et de l’Université Grenoble Alpes regroupés au sein de l’Institut pour l’avancée des biosciences ont analysé les conséquences des expositions environnementales , grâce aux données recueillies à partir d’une cohorte de 668 femmes. L’exposition à la pollution atmosphérique est associée à des modifications épigénétiques au niveau du placenta, pouvant présenter un risque pour le ftus. Ces résultats ont été publiés dans la revue le 21 Juin 2018.