Des chercheurs de l’EPHE, de l’Université de Montpellier, avec le soutien du CNRS, ainsi que de quatre universités ou instituts étrangers ont montré que considérer la connectivité des populations de poissons en plus de la richesse en espèces augmente la persistance des populations dans le réseau des aires marines protégées (AMP) de la mer méditerranée. Cette étude publiée dans la revue scientifique en février 2018 est la première à montrer un bénéfice d’un réseau d’AMP sur la persistance des populations en considérant conjointement la représentation en espèces et leur connectivité.