Des chercheurs du CNRS ont découvert que les mandrills évitaient de rentrer en contact avec leurs congénères infectés par des amibes gastro-intestinales grâce à leur odorat, afin d'échapper à toute contamination. Ces travaux, publiés dans la revue du 7 avril 2017, montrent que les parasites influencent les comportements sociaux des primates qui développent une stratégie d'évitement parasitaire grâce à un mécanisme olfactif.