Ces résultats, publiés dans Angewandte Chemie, montrent que l’énergie d’ionisation d’une protéine ne doit pas être considérée comme une valeur unique, fixe et définie, mais plutôt comme le résultat d’une distribution, correspondant aux différentes conformations que peut adopter la molécule selon les paramètres affectant sa charge ou sa structure (pH, présence de dénaturant, température…). [Lire la suite]