Le contexte des négociations commerciales 2015 serait-il paradoxalement favorable à une application des dispositions légales les plus récentes, notamment issues de la loi Hamon ? La configuration nouvelle de la distribution alimentaire résultant des coopérations à l’achat ne devrait-elle pas inviter industriels et distributeurs à promouvoir la négociation du prix et des réductions de prix, aux lieu et place de la «traditionnelle» négociation des conditions commerciales facturées par le distributeur. Olivier Leroy, avocat associé Cabinet Fidal, donne son avis.
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