Le 29 juin dernier, la Cour d’Appel de Paris a rejeté les accusations de concurrence déloyale lancées par la filiale française de Coty, société spécialisée dans la création et la distribution de cosmétiques et de parfums, qui avait poursuivi Brandalley pour avoir commercialisé ses produits, parmi d’autres, via Internet. Kathie Claret, avocat associé, et Raphaël Roditi, avocat collaborateur, du cabinet Bryan Cave à Paris analysent cette décision et celle du 25 mai qui démontrent que les réseaux et les contrats de distributios sélective sont fragiles
Le 29 juin dernier, la Cour d’Appel de Paris a rejeté les accusations de concurrence déloyale lancées par la filiale française de Coty, société spécialisée dans la création et la distribution de cosmétiques et de parfums, qui avait poursuivi Brandalley pour avoir commercialisé ses produits, parmi d’autres, via Internet. Kathie Claret, avocat associé, et Raphaël Roditi, avocat collaborateur, du cabinet Bryan Cave à Paris analysent cette décision et celle du 25 mai qui démontrent que les réseaux et les contrats de distributios sélective sont fragiles
Author: Redaction