Après avoir donné au magazine Challenges des pistes en disant vouloir notamment "ouvrir le chantier de l'emploi dans les PME" via une réforme du contrat de travail, le Premier ministre a réaffirmé mercredi devant l'Assemblée nationale que le cap des réformes serait tenu tout en ouvrant la porte à des "infléchissements" dans la politique conduite, comme le lui demande l'aile gauche du Parti socialiste.