L’image de palme en France, portée par les distributeurs, industriels et politiques, est désastreuse. Son premier impact est de réduire les revenus des agriculteurs qui la cultivent, comme c’est le cas en Malaisie. Lors d’une visite à Kuala Lumpur, la ministre du commerce extérieur Nicole Bricq a été interpellée par L'association des petits producteurs d'huile de palme de Malaisie (NASH) afin de prendre leur défense.