L'Etat français, qui "peut baisser sa part" au capital de Renault, ne souhaite pas une fusion entre le constructeur automobile français et Nissan, dont l'alliance doit perdurer telle quelle, a déclaré ce dimanche 8 novembre Manuel Valls.
"L'Etat est aujourd'hui à presque vingt (pour cent-NDLR), demain il peut baisser sa part, nous l'avons toujours dit, mais ce que […]