Lundi 26 novembre 2018, l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco) accueillera une conférence théâtralisée intitulée « Mauvaises filles ». L’entrée est gratuite, sur inscription.
« Hystériques », « vagabondes », « voleuses », « cheffe de bande »… Contrairement aux jeunes hommes, les jeunes filles en conflit avec la loi sont longtemps restées les grandes invisibles de l’Histoire,
Alors, au lendemain de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco) accueille lundi 26 novembre 2018, à 19h30, une conférence théâtralisée, intitulée « Mauvaise filles ».
Une performance entre conférence historique et théâtre
Au programme : un spectacle, entre conférence historique et représentation théâtrale, avec deux comédiennes de la compagnie À la tombée des nues qui donnent des visages et des voix à ces « Mauvaises filles, déviantes et délinquantes », du 19e au 21e siècle.
Ce spectacle est d’ailleurs inspiré du livre écrit par Véronique Blanchard, chercheuse à l’École nationale de protection judiciaire de la jeunesse et responsable du centre d’exposition historique de Savigny-sur-Orge (Essonne), et David Niget, maître de conférences en histoire à l’université d’Angers (Maine-et-Loire) : « Mauvaises filles : incorrigibles et rebelles » (éditions Textuel, 192 pages).
À noter : les deux auteurs seront présents pour cette conférence théâtralisée.
L’entrée est libre et gratuite, mais l’inscription est obligatoire, sur evenementiel@inalco.fr
Infos pratiques :
Lundi 26 novembre 2018, 19h30.
À l’auditorium de l’Institution national des langues et civilisations orientales (Inalco), 65 rue des Grands Moulins, CS21351, 75214 Paris Cedex 13.
Contact : evenementiel@inalco.fr