Des chercheurs du CNRS, de l’Université Toulouse III – Paul Sabatier et de l’IRD viennent d’élucider de nouveaux mécanismes moléculaires impliqués dans la résistance à la leishmaniose viscérale, une grave infection parasitaire. Ils ont montré que les récepteurs Dectine-1 et Mannose participent à la protection contre le parasite incriminé dans cette infection, en déclenchant une réponse inflammatoire, tandis que le récepteur DC-SIGN favorise la pénétration du pathogène et sa prolifération dans les macrophages. Ces travaux, réalisés chez la souris et l’homme, ouvrent de nouvelles perspectives pour la prévention et le traitement de cette maladie. Ils sont publiés le 16 mai 2013 dans la revue .