Les bénéfices écologiques des réserves marines situées à proximité de l’Homme sont limités. C’est ce que démontrent des chercheurs de l’Université de Montpellier, de l’IRD et de l’Université de la Nouvelle-Calédonie, en association avec le CNRS, qui ont étudié 1 800 récifs coralliens, dont 106 situés dans 20 réserves marines. Ces travaux sont publiés dans le 18 juin.