Cet accord salarial en deux temps prévoyant une augmentation de 3,4% en juillet et une autre de 2,2% en mai 2014. IG Metall réclamait une hausse de 5,5% des salaires et avait menacé d'engager des grèves en série, comme d'autres syndicats qui comptent profiter des élections législatives prévues en septembre pour obtenir le soutien de la classe politique.