La montée de l’Etat au capital de Renault en avril a mis en lumière le déséquilibre dans l’actionnariat de l’Alliance entre Renault et Nissan, à la vue notamment de leur contribution respective au groupe. Si un rééquilibrage paraît logique, il devra s’accompagner d’une réflexion sur la gouvernance de l’Aliance.
Usine Nissan – DR