Dans le rapport au ministre des Transports, Frédéric Cuvillier, le député du Nord présentera un projet fortement remanié sur le plan technique et surtout financier. L’hypothèse initiale d’un partenariat public privé sera totalement abandonnée, et la participation de l’Europe, sous forme de subvention, devrait passer de 6% à 40% du coût total de l’infrastructure.